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PARIS ET LE MARCHE INTERNATIONAL DE L'ART |
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Auteur: Dossier préparé par Marie Agam Ferrier
(Revue ENA Mensuel juillet-août 1997, 226 boulevard Saint Germain 7007 Paris)
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- Le collectionneur, un vice infiniment sympathique (G.Durand)
- Le vrai prix des oeuvres d'art: celui qu'un acheteur est près à payer (Claude Thibault, animateur de galerie d'art)
- La vente aux enchères: cheville ouvrière du marché français de l'art. L'absence de régime dérogatoire en matière de TVA, le droit de suite, la taxe sur les plus-values ont contribué à la chute verticale des ventes publiques. Le projet Juppé de réforme ne permettra pas aux commissaires-priseurs français d'absorber le choc de l'ouverture (Antoine Valentin, Commissaire-priseur)
- L'harmonisation européenne. Union européenne et harmonisation sont à l'origine de prochains changements, mais il ne faut pas oublier la réforme du statut de la profession des commissaires-priseurs (Gérard Champin, Président de la Chambre nationale des commissaires-priseurs)
- La réforme de la profession de Commissaire-priseur: Cette profession existe dans la plupart des pays européens. Mais, sauf en Allemagne, elle fait l'objet d'une réglementation très souple e ignore la notion de numerus clausus telle qu'on la pratique en France.(Jean Leonnet, Conseiller à la Cour de Cassation)
- Le marché de l'art n'existe plus, sauf pour les tableaux (F.G.Seligman, marchand d'objets d'art à la retraite)
- Les différentes composantes du marché de l'art (Jacques Perrin, antiquaire)
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