A l’approche du sommet Afrique-France à Nice lundi, Probst revient sur les turpitudes du Quai d’Orsay avec pour mot d’ordre un changement de politique voire le départ du French doctor.
Verbatim : « Quelle est la nécessité de garder Bernard Kouchner à la tête du Quai d’Orsay ? Il a l’air nerveux, pas intégré, pas actif, parfois il est même hors-piste… Là il va y avoir le sommet franco-africain à Nice, c’est quand même très important qu’on rejette les bases de plusieurs politiques africaines de la France mais en ce moment, on ne ressent ni de la part de Kouchner ni de Joyandet une capacité à développer une nouvelle politique de développement, de coopération »
« Hier, il y avait l’investiture au Soudan, le plus grand pays d’Afrique, du Président récemment réélu Omar El-Béchir mais vous savez qu’il est sous mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, ça veut dire que l’Egypte, la Tunisie, la Mauritanie n’obéissent pas aux règles internationales… Même son voisin qui était en guerre avec lui, notre protégé Idriss Deby du Tchad était hier à la cérémonie d’investiture de Bachir »
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