Sept prisonniers s’échappent d’un goulag, traversent la Sibérie, puis la Mongolie, direction l’Inde. Un périple anxiogène au cœur d’une nature sauvage, (…)
Sept prisonniers s’échappent d’un goulag, traversent la Sibérie, puis la Mongolie, direction l’Inde. Un périple anxiogène au cœur d’une nature sauvage, par le cinéaste de Master and Commander.
Le street artist J.R. braque son appareil photo et sa caméra sur les femmes des ghettos. Un objet bancal, avec une esthétisation de la misère assez désagréable.
Hantés par la mort, un médium, une journaliste et un enfant tentent de continuer à vivre. Esprits gentils et connerie new age, Clint Eastwood se vautre dans les grandes largeurs.
Comme 2009, 2010 nous a réservé son lot de très belles surprises, signées en grande partie par de jeunes réalisateurs ou même des cinéastes débutants. Etonnant, non ?
Légende anonyme et masquée de l’art urbain, le Britannique Banksy signe un premier film à son image : drôle, subversif, inclassable. Portrait de l’artiste en imposteur.
Takeshi Kitano ressort les flingues et dessoude des yakuzas psychopathes, imbéciles et racistes. Un très grand film, en forme de jeu de massacre cruel et burlesque. Définitif.
Un documentaire à suspense sur les cannibales de Wall Street qui ont plongé le monde dans la crise et qui s’apprêtent à recommencer… Le film d’horreur le plus flippant de l’année.