Probst n’oublie pas le PS. Alors que les projecteurs sont braqués sur les affaires politique de la droite, il rappelle que la gauche n’est pas en reste. En commençant par Sylvie Andrieux, députée des Bouches-du-Rhône.
« On pouvait espérer que après l’an 2000 tout ceci soit un peu derrière nous. Mais pas du tout. Nous sommes rentrés, dans les huit dernières années dans un amoncellement d’affaires. » 1’36
« Le PS doit faire attention. Et Martine Aubry ferait bien de remettre un peu d’ordre dans sa maison parce qu’à la faveur de l’affaire Andrieux, qui est une sale affaire, on commence à se re souvenir des affaires socialistes. » 3’13
« Chez eux [les socialistes] il y a souvent une très grande confusion des genres. Et ils donnent des leçons de morale néanmoins. Regardez Pierre Mauroy qui était pour la retraite à 60 ans. À 80 balais il est encore sénateur. » 4’53
« Il faut que Madame Andrieux soit la première [à démissionner]. Elle a été prise vraiment les mains dans la confiture. » 5’35
Lire ou relire sur Bakchich :
pourquoi n’avez-vous pas évoqué ce matin sur Inter le président de la république (F. Mitterrand) qui a fait héberger pendant x années sa maîtresse aux frais de l’Etat quai Branly ?
Combien cela a-t-il coûté aux contribuables ?
Bon ben, yaka, Monsieur Probst , tous les politiques vous ont entendu et c’est comme si c’était fait.
Démission de Madame Andrieux ;
Démission de Monsieur Woerth ;
Démission de Monsieur Bertrand.
et peut-être mise sous tutelle du Kaiser Sarkoko ?
Ah, c’est déjà fait , pardon, un changement de tutelle alors ?
à samedi prochain.
louise