Depuis De Gaulle jusqu’à Sarkozy, la politique ne s’est pas toujours faite au Palais Brognard. Chronique des liaisons tumultueuses entre les présidents et la "corbeille".
Le Général De Gaulle avait coutume de dire : « La politique de la France ne se fera pas à la Corbeille ». Le premier Président de la Vè République promettait aux Français une politique économique indépendante des caprices du Palais Brognard. Un engagement vite oublié par son successeur Georges Pompidou, beaucoup plus indulgent avec les marchés boursiers. Pas très surprenant, de la part d’un ancien collaborateur de la Banque Rothschild. Valéry Giscard d’Estaing, lui aussi, flirte avec les spéculateurs. Quant à la période François Mitterrand, elle désinhibe pour longtemps les boursicoteurs. Désormais, l’argent est roi, et l’ère Chirac fait la part belle aux bandits manchots. En 2007, les riches financiers deviennent les amis revendiqués du Président de la République…
Ferions nous mieux ? qui dans ce pays ne rêve pas d’être copain avec M.Bouygue, M. Arnault etc… D’ailleurs de qui son copain les socialistes M. Fabius, M.Strauus-kann, M.Dumas ? Les mêmes assurément.
L’argent est le seul critère d’honorabilité dans ce pays, y compris pour " monsieur tout le monde". Heureusement, pour la bonne conscience,meurt régulièrement des icones du contraire : Mère Théresa,Mère Emanuelle, L’abbé Pierre, Coluche.
qui ne rêve … ?
Moi je ne rêve pas du tout d’être copain avec tout le beau monde que vous citez ! Ces gens m’indiffèrent comme le sort des plus défavorisés les indiffère . J’ai le bonheur simple : il me suffirait de voir ma retraite conserver son pouvoir d’achat pour être heureux ! Mes copains beaucoup plus modestes me semblent aussi beaucoup plus sûrs !
Allons cessons de toujours croire qu’il faut être l’ami des princes ..(de l’argent ) pour être heureux … je leur laisse le dom pérignon avec plaisir . Ils sont nés riches ? et alors ?