Bakchich a promené les révélations de son 3e Hebdo et le souvenir des frégates de Taïwan dans les couloirs du procès Clearstream. Avec beaucoup de succès auprès des témoins et des avocats du procès.
Au procès Clearstream, il n’est plus question que de faux listings, de luttes politiques, de guerre des services secrets. Pas, mais alors pas du tout de rétro-commissions sur les grands contrats d’armements. Pourtant, les faux listings de compte Clearstream se voulaient les réceptacles des pots-de-vins versés à des hommes politiques français lors du contrat des frégates de Taïwan.
Alors, quand Bakchich TV, débarque sous le bras, avec Bakchich Hebdo 3, qui apporte de nouvelles révélations sur les détournements de ces grands contrats d’armement, et décrit l’enquête qui empêche Sarko de dormir, les avocats restent cois.
Muets, mais l’œil intéressé.
Lire ou relire sur Bakchich :
Personne sauf, et très discrètement, JP Chevènement parle des origines de l’affaire.
Au début de l’affaire une lutte sans merci régnait au sein d’EADS pour la succession de P Camus. N Forgeard et son fidèle P Delmas dérangeaient. De là à essayé de les impliquer dans des affaires de transfert d’argent sur des contrats avec le petit et le grand dragon il n’y avait qu’un pas.
Pour crédibiliser des listing falsifiés y ajouter des noms de la politique fut peut être une idée de certains protagonistes à la candidature du PDG d’EADS. Mais ces listing ont peut être échappé aux instigateurs.