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Larcher, le boudoir et les journalistes

SENAT / samedi 3 octobre 2009 par Cyril Da

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Le président du Sénat a invité des journalistes de L’Express à venir visiter (et mesurer) son nouveau logement de fonction de 90 m2, confirmant un douloureux sacrifice bien connu des lecteurs de Bakchich.

A l’occasion d’une couverture sur les inévitables "privilégiés de la République" en matière de logement, le président du Sénat Gérard Larcher a gentiment invité des journalistes de L’Express (01/10/09) à venir visiter -et mesurer- son logement de fonction.

Dans ce qui n’est pas une petite annonce immobilière, malgré une photo du salon à lustre, l’hebdomadaire fait état d’un "grand deux-pièces avec salle de bains (90 m2, au total)", certes "très confortable", mais sans comparaison avec "le logement qui lui est officiellement dévolu (215 m2, rue Bonaparte)".

Cette précédente adresse (au n°77 exactement) est bien connue des lecteurs de Bakchich, puisque votre site favori avait narré comment Gérard Larcher voulait y faire aménager -mais pas pour lui, avait-il affirmé- un nouvel appartement de fonction de 340 m2.

Ne boudons pas notre plaisir de revenir sur les causes de cet emménagement dans l’ancien appartement de Joséphine de Beauharnais…

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Forum

Larcher, le boudoir et les journalistes

le vendredi 2 octobre 2009 à 19:29

Le drame de ce pauvre pays de France, c’est qu’il est infesté par tous ces soi disant hauts personnages dont le seul mérite est d’avoir des copains dans une ripoublique de coquins. Leur abyssale médiocrité est leur signature ainsi que leur appartenance maçonnique. En effet, quand on a de la valeur, on n’a pas besoin d’aller se fourrer dans ces grotesques et misérables officines. C’est à pleurer de la démocratie qui finalement n’est pas un meilleur régime que les autres. Au contraire, elle favorise l’expansion exponentielle des ripoux à toutes les strates de la politique. Ce pays est endetté jusqu’à l’os et tous ces compères continuent de se goberger à nos frais et sur nos impôts qui ne cessent d’augmenter. Finalement comme beaucoup, j’attends impatiemment le grand soir qui ne devrait plus beaucoup tarder vu l’état de décrépitude de ce pauvre pays. Quand un bois est vermoulu, on le brûle, il faudra sans doute faire de même pour retrouver une certaine prospérité.
- tout jeter ?
  
  le dimanche 4 octobre 2009 à 11:00, artyparis a dit :
  
  Si ma voiture tombe en panne, je n’en change pas. Je répare/change la pièce défaillante, et hop. Qd vous crevez un pneu, vous mettez votre voiture à la casse ?
  
  Ces histoires d’appart, c’est le bout de la lorgnette. De pseudos journalistes ont le sentiment de pourchasser l’homme politique compromis. Et puis ce sont des faits assez simple à saisir.
  
  C’est ds la complexité que se cachent les plus gros scoops.