L’ancien ministre de Mitterrand - et aujourd’hui protégé de Sarkozy - est sur le point d’acheter une belle maison dans le canton de Vaud et souhaite s’y installer. Avec, à la clé, un forfait fiscal fort intéressant… Merci Sarko, au revoir Paris !
Redevenu riche par la grâce d’un tribunal arbitral aux ordres de Bercy, Bernard Tapie a déjà prévu de mettre de côté son pactole. Il va bientôt emménager, d’après nos informations, non loin du lac Léman, près de Prangins, dans la région de Nyon. Par ailleurs, il s’apprête à vendre l’hôtel particulier qu’il occupe depuis des années rue des Saint-Pères, à Paris. Là même où la juge Eva Joly était un jour venue le chercher avec les flics de la brigade financière. Trop de mauvais souvenirs !
Après avoir remboursé quelques dettes, l’ancien ministre de François Mitterrand devrait conserver à première vue pas loin de 50 millions d’euros. Pour vivre désormais en toute tranquillité, Tapie négocie un permis de résident en Suisse, dans le canton de Vaud. L’air pur du lac lui plait tant qu’il est en train d’y acquérir une belle demeure. Une agence immobilière locale vient de lui faire une proposition pour une superbe villa. D’après nos informations, un accord aurait été trouvé à 12 millions d’euros. Un avocat de Tapie assure ne pas être au courant. Quant à Nanar, il n’a pas réagi au message laissé sur son répondeur téléphonique.
Cela fait plusieurs mois que Bernard Tapie cherchait à s’installer en Suisse. Il y a quelques temps, un habitant de Cologny, l’une des zones les plus résidentielles de Genève, l’avait croisé admirant une belle villa, en compagnie de son copain de toujours, Didier Tornare. Cet ancien notaire, ex-président du club FC Servette, s’est reconverti dans les affaires après une faillite malencontreuse et quelques menus déboires. Un agent immobilier accompagnait le duo et une Rolls attendait ces messieurs sur le bas-côté.
Parallèlement, Nanard prenait contact avec Franck Muller, le richissime fondateur des montres éponyme. Ce dernier, propriétaire d’une belle maison et d’un immense terrain sur la route du Lac, à la sortie de Genève, cherchait à vendre une partie du terrain. Intéressé, Tapie a finalement décliné l’offre, la trouvant trop chère.
Déjà en juillet 2006, la Lettre de l’Expansion révélait que Tapie cherchait à négocier un forfait fiscal en vue de son installation en Suisse. Un forfait, c’est-à-dire « un impôt calculé sur le train de vie que l’on pense que la personne aura », explique un spécialiste de la question, calculé par le fisc suisse sans que l’intéressé soit obligé de divulguer ses revenus ou le montant de sa fortune. Idéal ! L’ex-proprio d’Adidas et de la Vie Claire cherche donc à obtenir un permis de résident du canton de Vaud, ce qui lui permettra de payer ses impôts forfaitairement.
On peut en effet s’y établir pour 60 000 à 200 000 euros.
Ce beau forfait, Tapie peut se l’offrir sans barguigner grâce à l’Etat français.
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Vous etes petits.
C’est vrai qu’il fait vivre du monde et qu’il en a fait vivre. Vous en vivez aujoud’hui encore dans l’actu.
Il recupere une partie de ce que la france de balladur lui a spolié. La belle affaire. !!!!! C’est que les comptes doivent encores etres bons pour l’etat. Un enarque n’aurait meme pas etait inquiété a sa place. Eux sont ""responsable mais pas coupable"".
Faut arrété de titrer dans le sens du vent,surtout quand on vous dit d’ou il vient.
Tapie se tire !!! Tant mieux pour lui. On peut comprendre.
Est ce que tout cela merite un tel acharnement ??
PPPFFFFFFFEEUU !!!!!!
Modérez.