Depuis une semaine, la gendarmerie est rattachée au ministère de l’Intérieur. Un rapprochement mal vécu par les gendarmes. Mais ils n’en sont pas à leur premier camouflet sarkozyste…
Sarkozy l’a voulu, le Parlement l’a fait. Le 23 juillet dernier, les élus ont définitivement adopté un projet de loi permettant au ministre de l’Intérieur de contrôler l’organisation et le budget de la gendarmerie, qui dépendaient auparavant de la défense. Pour Christian Prouteau, fondateur du GIGN, le désamour de Nicolas Sarkozy envers les gendarmes ne date pas d’hier. Leur éviction de la mission de protection du président a déjà été vécue comme « le comble de l’humiliation ». Récit …
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Sarkozy n’aime pas les gendarmes, c’est assez flagrant !
Il est devenu président de la République, mais il n’a pas encore compris, qu’en tant que tel, il se devait désormais d’être impartial, au service de la France, en évitant de mettre en avant ses sentiments personnels. Or, tel un père partial et injuste, donnant tout à l’un de ses deux enfants et rien à l’autre, il affiche nettement sa préférence pour la police, au détriment de la gendarmerie.
Qu’a-t-il fait pour les gendarmes jusqu’à maintenant ? RIEN !
Au contraire, il leur a montré plusieurs fois son dédain, son dépit, sa colère, sa vindicte…, des comportements indignes d’un véritable homme d’Etat.
Heureusement pour les citoyens que la plupart des gendarmes se comportent généralement avec retenue, modération, objectivité, loyauté et équité, des qualités que l’on ne retrouve pas chez le président.
Une chose est sûre : Sarkozy n’aurait pas pu être un bon gendarme. "Nous n’avons pas les mêmes valeurs !" Nous ne sommes pas du même monde…