Durant une assemblée générale houleuse, les actionnaires de la Société Générale ont dénoncé, hier mardi, la gestion spéculative de la banque. Au delà du cas Kerviel, de modestes clients ont été emportés par cette folie. Ainsi ce chômeur, devenu spéculateur, qui a pu « jouer » dix millions d’euros en bourse en un an, en octroyant ainsi de confortables commissions et agios à la banque.
« On est là pour vous aider », a longtemps assuré la Société générale. Parfois plus que de raison. Confiant en 2001 l’intégralité de ses économies – un beau matelas de 900 000 euros – à une agence Société générale du Sud de la France, Bruno [ndlr : son prénom a été modifié] souscrit un PEA et une assurance vie maison, se mettant à acheter des actions. Mais en juillet 2002, du jour au lendemain, patatras : le magasin ferme et Bruno est viré. Le directeur de l’agence lui ouvre à ce moment-là un compte en ligne lui permettant de boursicoter sur Internet en passant lui-même ses ordres. Sur le Net, on peut réaliser des opérations tant que le plafond n’atteint pas les 300 000 euros. Bruno est un homme heureux/chanceux : ses placements lui rapportent de l’argent. Au moins au début…
Encouragé par ses gains boursiers, il se met à miser gros – des opérations qui flirtent avec le million d’euros, voire plus. A chaque fois, il effectue des retraits de son assurance-vie. A chaque fois, dépassant le plafond, il donne un coup de fil au patron de l’agence de la Générale, qui passe les ordres en son nom. En 2005, la banque lui aurait conseillé d’acheter puis revendre rapidement (c’est-à-dire après deux jours…) des titres Bouygues. Objectif : toucher un dividende par action de 5 euros. Bruno achète donc pour 3,45 millions d’euros et revend à 3 millions. La perte est compensée par les gains de dividendes, même si Bruno doit payer des impôts sur l’opération. La banque touche sa petite commission : plus de 20 000 euros. A la même époque, l’agence prête à son client chômeur-boursicoteur 200 000 euros pour sa maison, et va même lui avancer de l’argent. Entre 2003 et 2007, le total des opérations bancaires s’élève à plus de 38 millions d’euros. Pas négligeable. « La Société générale a gagné 450 000 euros sur son dos en agios et commissions en l’incitant à spéculer en bourse, sans couverture », s’indigne le conseil de Bruno, l’avocat parisien Daniel Richard.
En 2006, le miroir aux alouettes se fendille. Les premières pertes importantes surviennent, notamment sur des actions Alcatel. Mais la spéculation continue sans filet, jusqu’à la nomination en septembre 2007 d’un nouveau patron de l’agence, qui ferme son compte de bourse en ligne. Après cinq ans de cette lune de miel entre la Société générale et sa poule aux œufs d’or, la banque lui interdit toute transaction boursière et lui demande de combler son découvert : 600 000 euros, auxquels s’ajoutent le remboursement de l’avance et du prêt immobilier. Il reste tout de même à ce chômeur sans revenus un portefeuille d’actions de 200 000 euros mais l’intéressé doit, chaque mois, rembourser 6100 euros à la banque. Rien que ça.
Pour se payer, la Générale exige même début 2008 de bloquer ses comptes et saisir ses actions, sa maison et son assurance-vie. Elle envoie à son domicile un employé tenter de faire signer à Bruno des documents puis assigne ce dernier début avril à lui payer un découvert de 600 000 euros et lui inflige une hypothèque sur sa maison. Pour Bruno et son avocat Daniel Richard, pas de doute : la Générale l’a incité à spéculer dans le but de s’octroyer de généreuses commissions. Mardi 27 mai, l’avocat de la Société générale n’a pas donné suite au coup de téléphone de Bakchich.
Ça se passe comme ça, à la Société générale.
Cette histoire a peu d’intérêt et est même curieuse bien que je peux croire qu’elle soit vrai.
Cette personne est vraiment stupide ! Il n’est pas à plaindre. Il pouvait vivre de sa rente grâce à des placements peu risqués et gérés par des professionnels. De plus, il pouvait prendre une infime partie pour s’amuser à spéculer.
"Dans cette affaire tout le monde a eu ce qu’il meritait. Alors maintenant qu’ils assument !
`Le problème c’est que, si’il n’en était que des actionnaires, excroissance cancéreuse du Capital Humain ou Caves pour, leur Maître Universel ", la voyoucratie banquiére" ; Mais, il en est pour les dettes publiques, municipales, provinciales, nationales, car toutes ont leurs origine dans cette grande escroquerie.
La population bâtit le pays et ce système endette la population à mesure qu’elle bâtit. http://www.evolutionquebec.com/site/nom/banques.html
La voyoucratie banquiére" leurs assesseurs polititiens et industriels, leurs caves actionisés et leur Dieu "Croissance" qui veulent inculquer en brâmant leur mantra novlangaise "There is No Alternative" ou sous des labels tel " le dévellopement durable"…
Dictature économique mondiale, politicienne et bananière !
En novlangais "De la démocratie représentative"
La "représentation populaire"-que l’on devrait nommer la représentation de la Démocratie, Souvreraineté des Peuples !-conçoit l’art de gouverner comme un élevage de singes. L. Daste "Intellectuel anthropocrate"
$égo, De$lanoé, les économiste$, $tarco$i-figaro$-bolloré$-bouygue$, leurs prison$ … d’ OR$ et consort$, bien loin de la réalité des peuples mais pas moins compétents version ententes, complicités, duplicités et forfaitures ; par contre "pouvoir économique, liberticide, autiste et répressif".
Les difficultés présentes et à venir ne pourront être surmontées qu’en contrôlant le pouvoir économique, devenu plus puissant que le pouvoir politique (privatisation de tout l’acquit social et public du Peuple). Seul le Peuple peut le faire, en se prenant en main directement.
Aujourd’hui ce sont les commissions d’investiture de Droite et de Gauche qui désignent à tous, tous les niveaux de « prétendus représentants du peuple » ce qui viole les articles 3 et 4 de la Constitution :
"La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’ exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’ en attribuer l’ exercice.(…)".
La souveraineté nationale au Peuple et NON aux partis, syndicats qui en sont à justifié et accepter la régression actuelle en espérant quelques miettes ou pour certain en pompant directement les caisses publiques, chevillés aux puissances économiques privés et particulières !
"Dans les États qui juxtaposent à la puissance législative des Chambres la possibilité de demandes populaires de référendums, c’est le peuple qui monte au rang suprême par l’acquisition du pouvoir de prononcer le rejet ou l’adoption définitive des décisions parlementaires. Du coup le Parlement se trouve ramené au rang de simple autorité : il ne représente plus la volonté générale que pour chercher et proposer l’expression qu’ils convient de donner à celle-ci ; il ne remplit ainsi qu’office de fonctionnaire. Le véritable souverain c’est alors le peuple." (Extrait de “La démocratie locale et le référendum”)
Reférendum d’Initiative Citoyen (RIC) !
Les promesses et les actes des partis depuis 1993
• En 1993 : Tous les partis du PC au FN avaient le RIC dans leur programme. • En 2002 : J.Chirac le promettait à nouveau expressément dans sa profession de foi du second tour. • En 2004 : Lors de l’adoption de la Loi sur la décentralisation du 13/08/2004 pas un seul député n’a déposé le moindre amendement en faveur du RIC communal ou régional.
Et donc 2O% des inscrits d’une commune et 10% d’une région, ce qui est énorme, (Près de 700.000 en Ile de France !) peuvent demander une "consultation" sur tous sujets, mais l’assemblée délibérante peut la refuser, et ce n’est qu’un simple avis…
Un simple avis… Voilà donc leur "démocratie participative" ?
• En 2007 : Déclarations des deux finalistes de la Présidentielle :
N.SARKOZY, le jour de son investiture a déclaré que le Français est : "un citoyen qui ne veut pas renoncer,(…), ne veut plus que l’on décide à sa place, que l’on pense à sa place". Mais pour cela il doit disposer du RIC…
S.ROYAL, après des milliers de rencontres avec les citoyens, en dressait le bilan sur son site "Désirs d’avenir" et présentait plus de cent propositions. On pouvait lire :"Une nouvelle présidence "Remontée des débats" Les citoyens veulent prendre la parole plus souvent et plus directement pour décider eux-mêmes.(…)" C’est la définition même du référendum d’initiative citoyenne…
Réponses des citoyens aux sondages sur le RIC.
• 82 % des Français sont POUR (Sondage Sofres pour "Lire la politique" du 12 mars 2003). • 88 % des Français pensent "qu’il faudrait faire un Référendum si un nombre élevé de gens le demandent" p 112 dans "La Démocratie à l’épreuve" G Grunberg (Presse de Sciences Po). Avec le RIC les Français qui souhaitent les réformes pourront les contrôler et en présenter, or : • 68% des Français sont pour "Un référendum d’initiative populaire, qui pourrait être demandé par 500 000 signatures de citoyens". (Sondage BVA du 11 07 2007 pour le Figaro/LCI)
Conclusion
Ils nous parlent de "démocratie participative" ?
Sans instauration préalable du RIC, il est INDÉCENT d’oser parler de "démocratie participative".
« Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est venue » V.HUGO http://www.ric-france.<… http://www.citoyenreferent.fr/P<…
Le Peuple est multi-indiviudalité, l’amateur en cela est pro en ceci ! La Richesse de sa Biodiversité est sa Puissance, et non sa divisibilité (communautarisme, corporatisme, etc…).
Peut-on borner le domaine d’ intervention du peuple ?
Rien ne justifie une réponse positive si ce n’est un doute de mauvais aloi, sur la capacité de celui-ci. Michèle Guillaume-Hofnung, professeur de Droit, dans "le référendum" chez Que sais-je ? Page 31.
La volonté du peuple ne doit pas être confisquée par quelques dizaines de Ponce Pilate… C. De Gaulle
NB : Le RIC n’a rien a voir avec autre que la Démocratie.
Les élus ne doivent être rien autre que des fonctionnaire mandatés par le Peuple Souverain.
"Ceux qui ne participent pas à la bataille participent à la défaite (Brecht)".
900 000 euros en portefeuille, 38 millions d’euros d’opérations en 5 ans : ça ne ressemble pas vraiment à la fameuse "veuve de Carpentras" !
A ce niveau là, ce n’est pas un banquier qu’il lui faut, c’est un psy… ou une mise sous tutel.