En Afrique, il ne nous faudrait cette année, ni « rupture tranquille », ni « démocratie participative », style nos cousins gaulois SékO-SargO !
Frères et sœurs souhaitons plutôt que nous parvenions à ROMPRE. Rompre avec les mauvaises habitudes du passé. Rompre avec les folklores électoraux que personne au monde ne nous envie. Au Sénégal par exemple, il va tout de même falloir que cette prochaine élection présidentielle soit enfin l’occasion pour l’avènement d’une ère nouvelle : parce que pour le changement genre Wade formule Sopi le peuple de la Téranga a donné, merci ! Une ère nouvelle à Dakar, cela implique des élections présidentielles organisées dans le respect de la liberté d’expression, du pluralisme, des droits de la presse, et du soucis méticuleux des droits des femmes et des hommes du grand pays démocratique et indépendant du Président Léopold Sédar Senghor.
Espérons en tout cas que les observateurs internationaux y veillerons de la manière la plus objective possible : à bon entendeur, Maître Wade, salut et dieure dieuf !
En Côte d’Ivoire, le Président Laurent Gbagbo, doit reprendre la main dans le cadre de l’application des vœux de la communauté internationale.
Il est urgent que les acteurs de la tragédie ivoirienne, Ado, HKB, CKB, et autre Soro Guillaume prennent enfin conscience de leurs lourdes responsabilités. Ce qui compte maintenant c’est le retour à la paix et au développement, seule condition pour que le peuple ivoirien reprenne confiance et espoir dans l’avenir du pays : qu’Abidjan , Yamoussoukro et Bouaké redeviennent des villes où expansion rimera avec bonheur.
Au Togo que préside Faure Gnassinbé, et au Bénin que dirige Yayi Boni, engageons-nous aussi, mes frères et sœurs, à ce que le travail et les investissements permettent enfin un redémarrage des économies de ces pays si porteurs d’avenir et de richesse.
L’opulence de la Guinée Equatoriale devrait permettre au président Obiang Nguéma de rompre avec les mauvaises manières du passé, afin que cet émirat pétrolier engage la sous-région dans un développement et une émergence nouvelle.
La République Démocratique du Congo de Joseph Kabila et le Cameroun de Paul Biya devraient également devenir des locomotives performantes afin que l’Afrique Centrale fournisse au monde l’exemple de ce que peut réaliser notre continent pour peu que, ensemble, nous le voulions avec force.
Suivons l’exemple de l’Algérie de Boutéflika et de l’Afrique du Sud de Thabo Mbéki !Prospérité !