Mes chères sœurs et frères, de notre continent d’Afrique bien aimée, nous nous réjouissons, tous ensemble, que nombre de nos pays commencent à aller mieux. Même le big boss des rejetons d’Oncle Sam a pu s’en rendre compte, la semaine passée, au Bénin, en Tanzanie, au Ghana, au Liberia, en Ouganda… Georges Bush Junior a bien compris que, plus que les Chinois, les Indiens, les Coréens, ou les Brésiliens il fallait faire du pied et soigner ses relations, pour un meilleur futur avec nos grandes nations africaines. Oh, certes, c’est la merde absolue au Kenya, quel désastre ! C’est aussi l’aberration soudano-tchadienne, sur nappe de pétrole sino-américaine au malheureux Darfour, quelle tristesse !
Bien des misères minent encore notre vieux continent africain, mais nous tendons vers une meilleure gouvernance, comme le prouvent chaque jour les nouvelles équipes dirigeantes, même si s’accrochent encore des anachroniques tels Biya, Sassou, ou Mugabe.
Pendant ce temps, dans la très vieille Europe, nos copains et d’ailleurs anciens cousins gaulois, les compatriotes français du Kaïser SarkocO, d’origine hongroise, s’arrachent férocement les yeux et le coeur ! À Neuilly-sur-Seine où se poursuit sans élégance une extravagante guerre ethnique, on peut observer Dadou, la mémé Sarkozy, soutenir visiblement Teullé, le conseiller technique du Président Sarkozy contre Fromentin, l’élu de coeur et de raison de l’UMP et du même Président Sarkozy, pendant que Jean-Jean le très jeune fils du Kaïser SarkocO en rajoute au bordel en étant lui-même aussi candidat au conseil général ! Union pour un Mouvement Populaire qu’ils disent ! Le parti de l’activiste président français se prend les pieds dans le tapis avec le risque lourd de sombres défaites programmées : Toulouse, Marseille, Strasbourg, Caen, Rouen…
Pendant ce temps, le Kaïser SarkocO virevolte, lui et ses proches collaborateurs, de phrases distinguées au salon de l’agriculture genre « Casse-toi pauvre con ! » à de mignonnes assertions style « Les sectes sont un non-problème ». L’Afrique, éberluée, et nouvellement adepte de la bonne gouvernance, observe le Président Sarkozy de Nagy Bocsa (élu par 53% des Françaises et des Français) avec angoisse pour la France et compassion pour lui. Comment cet être supérieurement intelligent, efficace et rapide n’entend-il pas gronder les meutes gauloises ? Pourquoi ce dirigeant, adepte de la rupture, est-il à ce point lié par un conseiller rococo comme Guaino, un muet du sérail ringard comme Pégard, et un jupon la joie comme Mignon ? Il ne suffira pas, pour sortir de l’ornière fatale, que Ramatoulaye Yade traite les journalistes de charognards et la gauche de raciste. En revanche, et ceci est un des fondamentaux pour la conseillère politique (sic) Catherine Pégard, éternelle donneuse de leçons, il est absolument obligatoire de faire relire, avant son prononcé par le président, tout discours devant une communauté, surtout juive, par Madame Simone Veil ou tout autre sage de la République.
PS : Ex-président grand JacquO estime que GalouzO de Villepin, c’est niveau zérO de la politique.
PPS : Attila Dati qui conteste le Conseil Constitutionnel n’est pas encore au septième ciel.