Avec « Nicolas a des soucis », Gospé et Sempinny se plongent dans l’enfance de nos politiques.
Qui ne s’est jamais demandé à quoi ressemblait Nicolas Sarkozy enfant ? Nos politiques étaient-ils les plus populaires de l’école ou des boutonneux en mal d’amis ? Avaient-ils le profil intello ou celui de cancre ? Gospé et Sempinny répondent avec humour et naïveté à ces interrogations. Ils dressent le portrait enfantin des grandes figures du gouvernement et de l’opposition. Personne ou presque n’y échappe, tous rassemblés dans une classe de primaire, ça promet… Du côté des filles, « Ségolène a répondu qu’elle ne voyait pas pourquoi c’étaient toujours les filles qui devaient faire la couture… », « Martine, c’est une nouvelle, mais elle ne sourit pas beaucoup. Elle est toujours sérieuse, et elle ne joue pas souvent avec nous. ». Chez les garçons, « Ce qui a étonné tout le monde, c’est que Nicolas s’est mis au dernier rang, alors que d’habitude, il aime bien être devant tout le monde. Xavier s’est mis à côté de lui avec Bertrand et Dominique. ». La maîtresse a du fil à retordre dans cette classe agitée…
Gospé et Sempinny transposent l’image actuelle des politiques afin de s’imaginer ce que ça donne en modèle réduit. On a ici aucun mal à concevoir Rachida en petite fille modèle et apprêtée, Ségolène en grande féministe, Martine peu souriante et pas très bavarde, et Jean-Louis un petit air débraillé…
L’élève le plus important de la classe reste petit Nicolas, toujours suivit de prêt par Xavier et François. Il a la cote avec les filles, Nicolas, Rachida craque pour lui et… même Ségolène se laisse charmer ! C’est pour dire… Personne n’a été oublié, même pas Carla qui n’est plus l’amoureuse de Nicolas, mais sa cousine. Une petite fille modèle très polie et de bonne famille, quelques ressemblances avec la réalité, même si elle ne parle plus bien français.
Tout ce petit monde est très attachant, ce qui n’est pas forcément le cas dans la réalité…
Descente de gendarmes avec chiens dans un établissement scolaire : témoignage audio du professeur (durée : 2min 43). Les faits se sont déroulés le lundi 17 novembre.
La seule médiatisation qu’il y en a eu, c’est ce message qui a été diffusé sur France Inter (émission de Mermet Là-bas si j’y suis). Effrayant, non ?
Avant d’élire tel ou telle candidat(e), on devrait avoir un maximum d’info sur leurs jeunesses. D’ailleurs ne s’aperçoit t’on pas que les psychopathes ont subi des violences verbales ou physiques quand ils étaient jeunes.
Aussi vite, Sarko, on lui disait "Casse toi pauvre con" quand il voulait jouer au ballon à la récré… !