Petit compte rendu des relations de notre Sarko Ier avec ces fleurons de l’économie française.
Une élection à 53%, cela se fête, non ? Décidément, la « rupture » annoncée par Sarkozy avec les années Chirac s’annonce radicale. Le grand Jacques s’était vu reprocher ses frais de bouche et ses voyages à l’île Maurice. Mais le nouveau président fait déjà plus fort pour fêter la victoire. Champagne à gogo au Fouquet’s avec les potes friqués, boîte de nuit branchée avec les amis patrons, suite présidentielle dans un hôtel de luxe des Champs-Elysées, envol en jet privé du Bourget et bronzette sur le yacht du copain Bolloré au large de Malte. Le fric, c’est désormais chic.
On savait que Nicolas Sarkozy était soutenu par les riches, qu’il veut faire revenir en France à coup de bouclier fiscal, à l’instar de Johnny. Mais on le découvre fasciné par les milliardaires et les big boss du CAC 40. « Je souhaite à l’économie beaucoup de Bolloré, d’Arnault, de Pinault, qui ont tous été capables d’investir pour créer des emplois », a ironisé Sarko Ier, lors de son court exil maltais. À dire vrai, il les fréquente presque tous depuis des lustres, comme maire de Neuilly, comme avocat, comme leader d’une droite « décomplexée ». Prenez Martin Bouygues, par exemple. Ils se sont connus au début des années 80, quand l’un n’était encore qu’un héritier putatif et l’autre le tout jeune maire de Neuilly-sur-Seine. Depuis, ils s’admirent réciproquement. « Quel bel empire de béton, de télé et de téléphone tu as ! », dit Nicolas. « Quelle bête politique tu fais », rétorque Martin. Ils s’appellent sans arrêt, ne loupent pas un anniversaire de famille. Martin fut l’un des clients du cabinet d’avocats de Sarkozy. Il était là, bien sûr, au Fouquet’s, dimanche soir, pour le triomphe de son meilleur ami.
Et pas question d’évoquer un sujet délicat : Martin Bouygues, qui est déjà entré dans le capital d’Alstom (fabricant de centrales et du TGV) avec le soutien de Sarkozy, souhaite manger Areva, le leader français du nucléaire. Mais ce gros cadeau à l’ami du Président risque d’être trop voyant. Il faudra peut-être y renoncer. Ou que Bouygues lâche TF1 en échange. Pas grave : Vincent Bolloré, nouveau magnat des médias et armateur accueillant, rêve d’avoir une grosse télé dans son escarcelle. Il doit y avoir moyen de s’arranger… Mais, promis, juré, ils n’en ont pas parlé sur le yacht. Les autres copains patrons de Sarko sont tout aussi désintéressés.
Bernard Arnault (LVMH) ? Il fut son témoin de mariage et il était là pour fêter la victoire, mais sans parler de luxe, ni des journaux qu’il possède. Arnaud Lagardère ? Il était également présent au dîner du 6 mai, mais les deux « frères » ne discutent jamais d’EADS, ni de la couverture de Paris-Match, ni des journalistes d’Europe 1. Dominique Desseigne (groupe Lucien Barrière) ? Il l’a employé comme avocat et l’a accueilli dans son hôtel du Fouquet’s le soir du 6 mai, mais sans évoquer les machines à sous accordées par le ministère de l’Intérieur à ses casinos. François Pinault ? Il fait régulièrement du vélo avec lui, mais sans dire un mot de la politique éditoriale du Point, dont il est propriétaire. Jean-Claude Decaux ? Il pédale en silence avec Sarkozy, sans parler de ses contrats publicitaires avec les villes. Henri Proglio (Véolia Environnement) ? On l’a vu aussi près de Sarkozy, le soir du 6 mai, aux côtés de Rachida Dati, la porte-parole du candidat, mais il n’était pas là pour parler de business. Promis, juré : l’amitié avec Nicolas, c’est sacré !
j’espère surtout que Monsieur Sarkozy 1 er d’origine Ethnique Hongroise, digne et entier successeur de la Françafric , quand on connait les liens que lui même a avec Omar Bongo-Ondimba er et qu’Il maintient avec BOLORE qui au Gabon est un des premier investisseur , n’oubliera pas que les Gabonais n’ont même pas le minimum vital pour se soigner , et que les 200.000 euros depenssé en deux jours et demie sur le Yatch "Mirifique" a Malte auraient pu soigner les Gabonais atteint du Sida pour 1 an et demie.
par ailleurs j’espère que ce ne sont pas les réseaux Sarkosistes qui lancent de telles insannitées comme vues sur le site de votre confrere sur le net.
Jer Vous fais copie de l’Article que vous pouvez lire a ce lien ci LE LIEN
Le couple Royal-Hollande à la Une Tout se réduirait donc à une affaire de dépit amoureux. Ségolène Royal, « jalouse » de la maîtresse de François Hollande, aurait décidé de se présenter à l’élection présidentielle. C’est la thèse que défendent Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin, journalistes au Monde, dans La Femme fatale (Albin Michel) qui paraît aujourd’hui. Le couple Hollande-Royal a décidé d’assigner les auteures en justice.
Le scénario : le dépit amoureux Selon Raphaëlle Becqué et Ariane Chemin, la candidature de Ségolène Royal serait la conséquence d’une « crise conjugale » : François Hollande, premier secrétaire du PS, flirtait avec la journaliste d’un hebdo parisien, une fille « belle, blonde et vive, chargée par son journal de suivre le PS ». Ségolène Royal aurait demandé à plusieurs membres du Parti socialiste de choisir, entre lui et elle. Constatant qu’elle montait dans les sondages, elle aurait finalement décidé de jouer son va-tout et de se présenter à l’élection présidentielle. Une manière, en somme, de « castrer » le père de ses enfants, lequel se serait bien vu à l’Elysée.
Un début de polémique : du journalisme-poubelle ? Les auteures de La Femme fatale ne travaillent pas dans la presse people ou ’trash’. Raphaëlle Bacqué est chef du service politique du Monde, quotidien de référence. La parution de ce livre jette un malaise dans les rédactions. « Le scénario est rondement raconté, croustillant à souhait, pas faux dans le fond, mais il marque l’arrivée d’un journalisme très trash en France, déplore un éditorialiste politique. C’est navrant que des journalistes du Monde se livrent à un tel exercice pour faire du fric. »
De son côté, Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste, a dénoncé sur BFM TV « un ramassis de fausses informations ». « Voir des femmes écrire d’une autre femme que finalement, la seule motivation, c’est un différend conjugal, c’est réduire la femme à un drôle de statut », a-t-il ajouté.
Devant les tribunaux François Hollande et Ségolène Royal ont demandé à leur avocat, Me Jean-Pierre Mignard, de saisir la justice. Ils dénoncent une « atteinte à l’intimité de leur vie privée, comme à leur honneur et à leur considération ». Le couple a échoué à empêcher la parution du livre ce vendredi, mais il compte régler ses comptes avec Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin devant les tribunaux.
Les principales intéressées rejettent pour l’instant ces accusations. La Femme fatale reste, selon elles, une enquête politique. Interrogée par les internautes, Raphaëlle Bacqué soutient que les problèmes intimes du couple « ont eu de graves conséquences politiques ». « Ils auraient dû être imbattables, affirme la journaliste.(…) Au lieu de cela, on a a vu deux équipes en incessante compétition. Je n’ai jamais entendu de mots plus durs sur Hollande que dans l’équipe de Royal et réciproquement. »
H.L.
je vous fait part aussi demon commentaire
Le 11 mai 2007 - 12:15 Paul Okili Boyer : Honteux dans la démarche… …Depuis des decennies , certains "Remueurs" de Purin Politique essayent de monopoliser l’attention populaire en "écrivassant" des insannitées sur les dirigeants Politique de la gauche……….
…Que n’a -t on pas entendu sur Monsieur François Mitterand ?…..
…Aujourd’hui , en dépit du fait que les deux Auteures de ce pamphlet soient des Femmes , on retrouve toujours une Argutie sans vraie litterature , ou Ces deux pourfendeuses à la Don Quichotte "Mord moi le noeud" se permettent d’attaquer une Femme de d’une Qualité Exemplaire , qui a réussie , en dehors de toutes aide Financière des Grands Capitaine d’Industrie a se faire aimer de la moitié de la France …toute tranche d’Age confondues…
Quelle mouche a donc piquées ces " Dilletantes du Stylo a Bille "…
François et Ségolène apparement génent par la vérité de leurs dires…
Madame ROYAL est d’une exemplarité complète la formidable action de rénovation du PS qu’Elle a menée , dans la ligne "Mitterandienne" qui est la sienne , fait des vagues et, des "Exclus" de l’Amour Populaire cherchant a travers des pages chiffons dictées par la Haine "des Machos et anti-Prolos" ne ferons pas oublier a tous ceux qui comme ma Famille et Moi continuerons a la Suivre …que plus rien ne sera comme avant , C’est celà le Futur de la FRANCE PRESIDENTE , Mesdames les arrivistes litteraires.
Paul Okili Boyer (Carcassonne)
Polémique , comme toujours a coté de la plaque. Tout le monde sait qu’une rançon a été payée contre la Vie de Monsieur Dambreville. la logique française a toujours été la même , paiement d’une rançon et faire croire que des moyens diplomatiques ont été mis en place …………Celà ne peut être que mensonger pour tout ce qui touche a la politique Etrangère de la france ….qui a chaque fois qu’une election se profile a l’Horizon comme par magie la Solution Diplomatique de la France se met en branle pour faire gagner ou conforter le Candidat de droite qui montre la force de son action Diplomatique.
Personnellement je n’Y croit pas du tout , et si Il n’y avait la vie de Monsieur Dambreville et aujourd’hui la vie des trois humanitaires de cette Ong , La Presse et des actions indépendantes seraient bienvenues pour sortir des vérités flagrantes…..Enfin "Aléas , jacta est …."
Un acticle de Presse explique aussi , certains devraient le lire qu’un Otage Etranger en Afghanistan c’est Deux millions de USD…
Posté le Mercredi 11 avril 2007 @ 11:29:25 Contributed by :
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Rahmatullah Hanefi, responsable local de l’ONG Emergency, a été interpellé après avoir négocié la libération d’otages italiens aux mains des talibans. Ici, une manifestation pour obtenir sa libération. Borgia/AP. LE FIGARO Rome RICHARD HEUZÉ. Publié le 11 avril 2007 Le voile se lève sur les tractations conduites par l’Italie pour récupérer ses ressortissants enlevés en Afghanistan, qui auraient été « échangés » contre des talibans.
« UN SUPPÔT des talibans. Peut-être même l’un des leurs » : ce sont de lourdes accusations que le chef des services secrets afghans, Aminullah Saleh, porte à l’encontre de Rahmatullah Hanefi, responsable de l’ONG humanitaire qui a négocié la libération, le 19 mars dernier, du journaliste italien de La Repubblica, Da-niele Mastrogiacomo. Deux jours après la décapitation de l’interprète du journaliste, ces accusations relancent la polémique.
Hanefi, dit « Rahmat », a été interpellé par la Sûreté afghane après l’échange du journaliste contre cinq chefs talibans incarcérés à Kaboul. Chef du personnel de l’hôpital de l’ONG italienne Emergency à Lashkar Gah (sud-ouest de l’Afghanistan), il a personnellement négocié au téléphone les conditions de l’échange avec le commandant des talibans dans le secteur, le mollah Dadullah. « Nous avons compris que Rahmat était un homme de confiance des talibans. Nous cherchons à établir s’il n’est pas responsable du piège tendu à Mastrogiacomo. Dans cette affaire, Emergency s’est comporté de manière arrogante et arbitraire, entravant notre travail », affirme le chef des services secrets afghans dans une interview au Corriere della Sera.
Gino Strada, fondateur d’Emergency, prend fait et cause pour son collaborateur. Il accuse Romano Prodi et Hamid Karzaï de se comporter comme « des Ponce Pilate » et de se désintéresser de son sort. Au passage, il révèle que Rahmat avait versé 2 millions de dollars aux talibans pour obtenir la libération d’un autre otage, le photoreporter italien Gabrielle Torsello, retrouvé le 3 novembre dernier sur une route près de Kandahar après une séquestration de trois semaines.
C’est la première fois que le versement d’une rançon est confirmé pour cette prise d’otage : « Le gouvernement italien sait combien Rahmat est digne de foi. Il avait reçu [de lui, NDLR] 2 millions de dollars pour obtenir la libération de Torsello et a ramené ce dernier aux agents des services secrets qui attendaient tranquillement dans une maison », affirme Gino Strada.
Cette révélation, les accusations de Strada contre Romano Prodi et ses menaces de fermer les trois hôpitaux et les vingt-trois centres de soins gérés par Emergency en Afghanistan ont fortement irrité en Italie. Pour le ministre aux Affaires européennes, Emma Bonino, Strada est « un personnage au comportement ambigu ».
« Nous ne cèderons plus »
« Prodi, a expliqué Hamid Karzaï, m’a téléphoné à plusieurs reprises pour me demander de coopérer. Il m’a expliqué que son gouvernement était en difficulté et risquait de tomber sur le vote du refinancement de la mission militaire italienne en Afghanistan. » Quelque 1 900 paras italiens sont engagés dans les opérations alliées. L’Italie participe aussi à la reconstruction du réseau routier. Hamid Karzaï dit avoir donné son accord au nom de la « grande amitié » qui lie les deux pays, « tout en sachant qu’un tel échange ne ferait qu’entraîner de nouveaux enlèvements ». Il a toutefois mis en garde : « Nous ne céderons plus à aucun chantage des talibans. »
Au lendemain de sa déclaration, Adjmal Nashbandi, l’interprète, était égorgé avec vingt-quatre heures d’avance sur l’ultimatum. Et le pire est à craindre pour les autres otages : le médecin et les trois infirmières afghanes enlevés le 27 mars près de Kandahar avec leur chauffeur et les deux coopérants français. Le quai d’Orsay a hier affirmé n’avoir « toujours aucune revendication » des ravisseurs des Français.
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Comprenne qui voudra