Nicolas Sarkozy, notre grand président, a décidé de mettre de l’ordre chez les flics. Première victime : le trop ségoliste directeur de la police générale à la préfecture de police de Paris, Yannick Blanc.
Le propos est tenu en privé par le banquier François Perol, bombardé depuis le 6 mai, secrétaire général adjoint de l’Élysée : « Nicolas Sarkozy ne laisse jamais rien passer. Ceux qui l’attaquent doivent le savoir avant de lui décocher des flèches. Il rend toujours coup pour coup ». Sans lésiner sur les coups tordus d’ailleurs. La prise du pouvoir suprême par la Sarkozie s’accompagne donc tout naturellement de sanglants règlements de compte contre tous ceux qui ont manqué au candidat UMP pendant la campagne.
On a ainsi déjà vu, MAM, la nouvelle première fliquette de France humiliée en prenant ses fonctions de ministre de l’Intérieur. Écartée de toutes les nominations des grands flics (cf. Sarko soigne l’Intérieur de Mam) et même privée du droit de choisir son propre dircab, la pauvre ex-prétendante à l’investiture UMP n’a pas été épargnée. « Elle en pleurait », assure une mauvaise langue un brin misogyne. Il s’agissait là de représailles sarkoziennes pour la punir du rôle pas très franc du collier qu’elle avait joué dans l’affaire Clearstream, en s’abstenant de dénoncer « la machination » dont s’estime victime Sarko.
Comme les dix petits nègres, qu’il faut – à défaut d’éliminer – au moins punir, sa majesté Sarko 1er poursuit donc de son auguste vengeance tous les traîtres et les félons de la campagne.
Trois jours après la victoire du 6 mai, un pauvre flic des RG, soupçonné d’avoir été à l’origine de la révélation sur les investigations policières autour de Bruno Rebelle, l’ancien conseiller de Ségo, était ainsi mis en examen pour « violation du secret professionnel » après 48 heures de garde-à-vue dans les locaux de la police des polices. Les « bœufs-carottes » semblent même être devenus une sorte de garde prétorienne de la Sarkozie, spécialistes de la razzia anti-Ségo. Ces fonctionnaires méritants viennent d’ailleurs d’épingler à leur tableau de chasse, une nouvelle proie harponnée dans la Ségolénie, le directeur de la police générale à la préfecture de police de Paris, Yannick Blanc.
Le patron de cette direction qui délivre les titres de séjour aux étrangers a eu l’insigne honneur de faire 48 heures de garde-à-vue dans les locaux de la police des polices. Pour rien. À moins que ce soit pour le faire réfléchir ? Le prétexte de l’interrogatoire ? Le démantèlement d’une filière de ripoux à la Préfecture de police où certains poulets un peu frits délivraient frauduleusement des titres de séjours à des étrangers contre diverses gratifications en nature.
Blanc n’a strictement rien à voir dans ces trafics. Des écoutes téléphoniques pratiquées pendant une enquête qui a duré plus de six mois, l’attestent d’ailleurs sans aucune ambiguïté. Il s’est pourtant fait « taper » par les flics de l’Inspection générale des services. Il faut dire que Blanc est sur la liste noire de Sarko 1er depuis juillet dernier. À l’époque, Blanc a osé affirmer publiquement que des milliers de sans-papiers allaient être régularisés, une annonce, qui bien qu’exacte, a beaucoup énervé Sarko, alors premier flic de France très soucieux de draguer les électeurs du Front National. Au début des opérations de régularisation, Blanc avait évalué, à environ 6 000 le nombre de bénéficiaires dans la région parisienne. « Tous ceux qui parlent de chiffres parlent de sujets qu’ils ne connaissent pas », avait rétorqué au bord de la crise de nerfs le futur président de la République. Au final, quelques 6 000 étrangers ont obtenu des papiers. CQFD.
Ce cafouillage de communication n’est pas le seul grief porté au passif de Blanc. Nommé par Daniel Vaillant, le dernier locataire socialiste de la Place Beauvau, Blanc, dont le cœur penche fortement à gauche, a en effet joué, selon nos informations, un rôle de conseiller très discret auprès de la blanche Ségo, pendant la campagne présidentielle. Il a fourni la candidate socialiste en notes sur la politique de l’immigration. Manque de chance, espionnées par la police des polices sous prétexte de l’enquête sur les trafics de papier, les conversations de Blanc avec sa candidate préférée, sont vite revenues aux oreilles des grands flics qui entourent Sarko 1er. Droits-de-l’hommiste et ségoléniste ? Autant dire une racaille…
règne de toton : suicides à gogo même à l’élysée, lancer de français par la fenetre à l’occasion de balades de frégates près de taiwan et autres squelettes ds les placards maitresses et gosses à gogo
règne de chichi super menteur la baraka : poursuite des lancer de français par la fenêtre, siphonnage de caisses.squelettes ds les placards, maitresses et gosses à gogo
règne de sarko : on sait dejà pour les matresses et les gosses….on attend la suite du regne. le pouvoir c’est le pouvoir, il n’y a pas de miracle. au sommet de la pyramide on jouit ; en bat et trime. sarko1er, comme tous avant lui, va jouir de son pouvoir. on ne sait jamais pour combien de temps on est au sommet, donc, autant profiter pour placer ses poulains.
le peuple trimera tout le temps.
On a les dirigeants et la classe politique que l’on mérite