Maroc, Algérie et même Tunisie… Bernard Kouchner fait l’unanimité contre lui au Maghreb. Carton plein pour le French doctor !
À quelques jours de l’arrivée de Nicolas Sarkozy au Maroc, des diplomates du royaume enchanté ont discrètement transmis un message à Jean-David Levitte, le vénérable conseiller diplomatique du Président de la République. Ils lui ont en substance glissé que les relations amicales qu’entretient Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, avec le prince Moulay Hicham suscitent de la méfiance. Depuis que les deux hommes se sont récemment rencontrés à New York, lors de l’assemblée générale des Nations Unies, et surtout depuis que le « prince rouge » a donné une interview à Al Jazeera où il asticote la monarchie marocaine, Rabat redoute un coup d’éclat du cousin germain de Mohammed VI. Les deux hommes se sont connus lorsque Bernard Kouchner était administrateur du Kosovo pour l’Onu. À l’époque, Moulay Hicham, fils du prince Moulay Abdallah et neveu préféré d’Hassan II dirigeait la mission d’observation des élections organisées dans la province sous l’égide de l’Onu.
Après le Kosovo, les deux hommes ont continué de se voir discrètement, même après l’exil volontaire du prince aux États-Unis où il passe son temps quand il n’est pas à Paris ou à Abu Dhabi. Signe des tensions avec Mohammed VI, à plusieurs reprises Moulay Hicham s’est vu proposé des responsabilités au sein de l’Onu, mais l’opposition du Roi alliée à celle de Jacques Chirac ont eu raison de la volonté de Kofi Annan. Toujours est-il que rien n’indique que le théoricien du droit d’ingérence pourrait agir pour favoriser son prince d’ami. Mais, au Palais royal, on préfère prendre les devants et rappeler à quel point la déstabilisation de l’actuel monarque serait préjudiciable à la France.
Dans l’attente d’une clarification, le principal vecteur de communication restera donc l’Élysée. Handicapé au Maroc, Bernard Kouchner pourrait également rencontrer des difficultés en Algérie où il est affublé d’une bien mauvaise image en raison de ses prises de positions pendant la sale guerre. Le « french doctor » avait à plusieurs reprises réclamé une commission d’enquête internationale sur les massacres de civils dans la plaine de la Mitidja. Les généraux ont de la mémoire et le chef du Quai d’Orsay reste associé aux partisans du « qui tue qui ? ». Comme pour le Maroc, l’Élysée pourrait être le seul canal par lequel seront traitées les relations bilatérales avec Bercy pour les affaires économiques et les liens commerciaux.
Enfin, les Tunisiens ont aussi Bernard Kouchner à l’œil. Surtout son intention avouée de « moraliser la diplomatie française ». Les violations des droits de l’homme régulièrement dénoncées par les ONG internationales pourraient même être la raison que saisirait le ministre pour faire pression sur le régime de Carthage, se méfie-t-on à Tunis.
En juillet dernier, Nicolas Sarkozy s’était d’ailleurs rendu quelques heures en Tunisie en compagnie de sa secrétaire d’État aux Droits de l’homme, Rama Yade. En clair, pas de Kouchner, mais pas de blanc seing pour Ben Ali non plus. À Tunis on attend de voir et l’on reste sur ses gardes.
Maintenant vilcoyottes de 1 con-né(inconnu)et de rose des sables relisez vous dans Sarkotor au Maghreb du 9/07/07 ou 1 con né déclaré pour gosser de l’annulation de la visite de Sarkozi au Maroc de 07/07 en HIHI HIHI HIHI en raison de l’excellence des relations entre le Maroc et la France le Maroc annule la visiste de sarkozi !hi hi hi hi annalyse d’1 con-né !
Rose des sables se vanter de "L’Algérie une ambition de puissance régionale !Et que Sarkozi a cécilia !Relis-toi rose des sables,ni cécilia,ni puissance régionale !Vous avancez en arriére ; at Kadmou allor,allor !!!
Sarkozi a donné un sérieux coup de pieds dans la fourmiliere du polisario et des généraux obéses de l’Algérie en reconnaissant sans ambiguité au Maroc son droit au sahara devant le parlement Marocain le 23/10/07 et apporte son soutien dans tous les domaines au Maroc !!!!Pour 1-con-né hi hi hi hi hi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!