Cacastrophes

Les miséreux birmans et les tout aussi pauvres chinois, subissent dans des proportions dramatiques, les conséquences de catastrophes que les « scientifistes » qualifient toujours de naturelles. Ce qui ne me paraît pas naturel, c’est l’incurie des autorités publiques et du « machin » comme l’appelait le Général de Gaulle et que Galouzin de VillepO, SarkocO et Kouchner appellent la communauté internationale…

Les aides n’arrivent pas aux miséreux, pas plus lorsque l’ouragan ou le feu font rage et dévastent la Louisiane ou la Floride de Georges W. Bush que dans la Birmanie de l’odieuse junte militaire et totalitaire. La propagande chinoise post-maoïste nous parvient en revanche au moment où cette merveilleuse région du Sichuan est terriblement endeuillée par un tragique tremblement de terre. Qu’attend le nerveux Kaïser SarkocO pour envoyer son Kouchner du Quai d’Orsay mettre en pratique sur le terrain ses droits et devoirs d’ingérence : lié « totalement » et humanitairement avec la junte birmane, il ne sera pas difficile au compagnon de Madame Ockrent, le Nanard de Médecins sans frontières, de faire entendre la voix de la France…

Vu d’Afrique, la voix de la France s’est bizarrement éteinte le 13 mai 2008 cinquante ans après le retour du Général de Gaulle, à la tête d’une France dont l’embarcation IV ème République prenait l’eau de toute part, la V ème finissante du Kaïser SarkocO s’est révélée bégayante, impuissante, stérile, pour tout dire ridicule dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale gauloise.

Pour cause de dégustation excessive d’alcool de maïs OGM, Borloo, Kosciusko et surtout Karoutcho auraient déjà dû présenter leur démission au challenger de SarkocO, François Fillon. L’amateur Jean-Pierre Elkabbach aurait dû sur les antennes d’Europe I-Public Sénat, qui comme chacun sait sont anti-sarkoziennes, annoncer la démission irrémédiable pour cause d’honneur de l’impayable avocat Jean-François Copé : mort au déshonneur du champ parlementaire par la faute d’un « accident de parcours » UMP et de ce que le comique haut marnais Luc Chatel a tenté de qualifier « d’aléa »-ah ! ah ! Léa, Léa, roi de Bayonne et des cata…cacastrophes politiciennes, cacophonie parlementaire si fréquentes dans le régime agité de SarkocO et de son gouvernement Fillon, auxquels plus personne ne se fie. Oh bien sûr ! Bécassine Pégard s’essaye encore difficilement à la propagandastaffel anti-journalistique, tandis que son petit empereur se plaint tout à trac du traitement médiatique que lui infligerait:son compère balladurien Louette(AFP), Lagardère (Europe I, Paris-Match, Elle,JDD), Dassault (Radio-Brezet et le Figaro-Mougeotte), Arnaud (les Echos de son maître), Pinault (Frantz-Imbert et Der Punkt), sans oublier les B.B des travaux publics et de la télévision, les inénarrables Bouygues et Bolloré, champions du monde de la vulgarité avec Cauet et Labro…qui n’a toujours pas réparé Direct !