Officiellement, c’est Michèle Alliot-Marie qui a viré le commissaire Rossi, après l’occupation illégale de la villa corse de Christian Clavier. En fait, dès samedi, un coup de fil était échangé entre l’acteur et Nicolas Sarkozy. Lequel a décidé immédiatement de virer le pauvre flic.
La controverse grossit sur les conditions exactes de l’éviction du commissaire Dominique Rossi, grand coordinateur des forces de l’ordre, gendarmes et flics, en Corse. En effet, le ministère de l’Intérieur endosse la décision du renvoi du commissaire, de façon assez maladroite, en mettant en avant « l’enchaînement des faits avérés en matière de gestion de l’ordre public ». Diable !
D’après les informations recueillies par Bakchich, « l’enchaînement » des faits fut assez simple. Une manifestation des « Natios » était prévue pour samedi à Porto-Vecchio. Et un vaste pique-nique organisé devant la mairie. D’autres actions sont possibles, craignent alors sur place les renseignements Généraux. Est ce que l’action chez Clavier était connue à ce stade ? Du côté des nationalistes, on affirme aujourd’hui que l’occupation de la villa fut improvisée le samedi. Dans cette hypothèse, le commissaire Rossi et ses hommes ne pouvaient pas savoir que la villa de l’acteur et ami du Président serait occupée ce jour-là.
Samedi donc, les indépendantistes corses occupent la maison de Clavier pendant une heure ; certains vont même, témoigne-t-on localement, « jusqu’à pisser dans la piscine ». Puis ces allumés qu’on appelle indépendantistes repartent comme ils étaient arrivés, pacifiquement, sous le regard amusé des gendarmes. Du classique sur l’île de Beauté !
Seulement, très vite dans l’après-midi du samedi, révèlent des sources propres à Bakchich, un coup de fil est échangé entre Christian Clavier et le Président de la République. Lequel décide, dans la foulée, de couper une tête pour faire un exemple !
L’affaire Rossi pourrait s’enflammer. L’éviction du commissaire Rossi, chargé du maintien de l’ordre en Corse et reconnu, depuis toujours, comme un fonctionnaire de qualité, a provoqué une sacrée secousse dans les rangs des policiers. Un peu comme le renvoi, en juillet dernier, du général Bruno Cuche, patron de l’armée de terre après la fusillade de Carcassonne.
On voit même le fameux syndicat des commissaires et hauts fonctionnaires de police, le fameux « Schtroumpf », comme il est surnommé, monter au créneau pour défendre le commissaire Rossi face à l’Élysée. Or, dieu sait si ce syndicat, depuis 2002 et l’arrivée de Sarko au ministère de l’Intérieur, avait fait allégeance ! Or, cette fois, son secrétaire général adjoint, Emmanuel Roux, prend la défense de Dominique Rossi : « Ce n’est pas une affaire Clavier mais une affaire Rossi ». Et d’ajouter : « En Corse, on ne cherche pas la bagarre, l’affrontement. Les choix de Rossi ont été excellents ». Il est vrai que si l’État français rentrait dans le lard des nationalistes corses, cela se saurait. Cela fait vingt ou trente ans qu’on leur passe l’essentiel de leurs frasques. A l’exception de l’assassinat d’un Préfet, dans l’affaire Erignac.
Or, l’occupation pacifique de la villa d’un acteur, fut-il l’ami du Président, ne s’apparente pas encore à l’assassinat d’un haut fonctionnaire. Du moins, on l’espère !
Retrouvez le dossier complet de l’affaire sur le site De source sûre
Lire ou relire sur Bakchich.info :
Gilles Leclair, nouveau patron de la sécurité en Corse après le limogeage de Rossi
ils y a certains qui pensent que les postes politiques sont éternels , ils se trompent !
ces postes sont des promotions d’affinités , d’amitiées, plus précisément de clan
et ne sont basés sur aucunes compétences , ni valeur morale et c’est pour ça , qu’ils ne peuvent perdurer dans le temps
MAM ou un autre , chacun son tour
Bravo , Monsieur le Président même si ce n’est qu’une rumeur ,pour ne pas dire une farce , vous leurs faite vivre " le salaire de la peur " je n’aimerai pas être à la place de ces gens , qui , tout les matins se lèvent avec la peur au ventre de se voir remerciés
Ce qui est bien ,c’est que ,ni BAKCHICH ,ni moi , ne sont Ministre ou Responsable Politique et pas moins président du sénat
Z’avez entendu comme ils se lâchent… les journalistes des radios : « Un Président corrompu… un régime de copains et de coquins… suceurs du sang du peuple… »
Ici… ah ça non !.. Au… PAKISTAN… Ouf… on a eu chaud !
Cessez vos flagorneries, vos minauderies, vos niaiseries, Mmes et MM. les journalistes… Il est encore temps de vous ressaisir…
Les Françaises et Français souffrent… Cessez de flatter… ce régime… totalitaire…
Liberté, égalité, fraternité sont… de lointains souvenirs… Interdictions, favoritisme et taxations en tout genre c’est ça la ruée vers la misère organisée par ce régime…
Cessez de… collaborer… avec le socialogaullisme… ce régime liberticide… fratricide… francocide… La France, la Corse et l’Outre-mer vont droit… à la… faillite !
Cessez de répéter et de colporter les « mensonge et vantardise » de ce régime… socialogaulliste !
Redressez-vous !.. N’ayez pas peur… N’ayez plus peur !
Sarkozy nous emméne les extrèmistes de la droite catholique, comme il a commencé par saluer le Président du Dieu bénisse l’Amérique !!
Sarkozy reçoit le pape en prenant la France pour sa propriété, en prononçant un discours flou, vicieux, pour cacher ses dessins.
e pape rend hommage au fondateur de l’Opus Dei…
Benoît XVI a inauguré mercredi matin une statue de cinq mètres de haut de saint Josemaria Escrivà de Balaguer, fondateur du mouvement conservateur, dans la basilique Saint-Pierre.
Benoît XVI a inauguré mercredi 14 septembre une statue de saint Josemaria Escrivà de Balaguer, le fondateur de l’Opus Dei, lui conférant ainsi l’honneur de figurer parmi les saints représentés au Vatican. […] Le souverain pontife s’est borné pour sa part à bénir sans aucun commentaire la statue, une oeuvre de cinq mètres de hauteur de l’artiste romain Romano Cosci. Dans un bref discours, le sculpteur a estimé que le saint l’avait miraculeusement sauvé d’une chute de l’échafaudage sur lequel il travaillait.
"La pieuvre de Dieu" Plus de 150 sculptures de saints et d’apôtres décorent les murs intérieurs et extérieurs de la basilique vaticane ainsi que la colonnade de la place Saint-Pierre. Une dizaine de niches sont encore vides. L’Opus Dei, fondée en 1928, est une puissante organisation conservatrice catholique aussi appelée "l’Œuvre". Elle compte 80.000 membres à travers le monde, essentiellement des laïcs. Elle est aussi surnommée péjorativement "la pieuvre de Dieu" en Espagne où elle a joué un rôle politique majeur dans la période du franquisme et de l’après-franquisme.
Euh… le Ciarkozysme n’a absolument rien à voir avec le Gaullisme !!! Le Ciarkozysme est une doctrine visant à soumettre la France aux USA !!! Tout ce que De Gaulle combattait !
D’ailleurs le discours de Bocassarkozy à Colombey, sur la tombe du Général est vécu comme une insulte et un outrage au Gaullisme et à la mémoire du Général !
Oui ROSSI a été intelligent en agissant ainsi , et si on l’avait laissé faire, l’affaire aurait pu passé pour une simple anecdocte !
Maintenant on est devant des menaces de mort, l’utilisation d’un service public à des fins strictement privées aux frais du Contribuable ! et on a viré un mec compétent !
Bravo Tsarko ! ou MAM, … c’est du beau boulot : vous arrivez au moins à faire rire quand on a envie de pleurer pour tout le mal que vous faites à notre pays, notre nation, notre peuple, notre culture ! Quant à Clavier, je boycotte l’ensemble de ses films, depuis cette affaire !
Alain MORAUD MRC - Gaulliste de Gauche
http://www.rinnovu.com/index.php ?action=forum&subaction=message&id_sujet=38021
La petite folie de Clavier
On entre dans la maison de Christian Clavier par une passerelle en bois surplombant le jardin. La villa, conçue sur deux niveaux par l’architecte avignonnais Yves Pochy, est ultramoderne à l’intérieur. Dans la pièce principale qui s’étend le long d’une grande baie vitrée trône une cheminée en pierre de lave avec un grand conduit en métal. La chambre à coucher de l’acteur est au rez-de-chaussée, face à la mer, à côté de son bureau. Sur la gauche, trois bungalows, indépendants les uns des autres, sont réservés aux amis. A droite se trouve la maison du gardien, un ancien marin. C’est toujours lui qui sort du port de Bonifacio le splendide voilier en bois des années 30 que l’artiste s’est offert avec son ami Yves Pochy. Une petite folie, disent les gens du cru, à l’instar de ce terrain que l’artiste a acheté à Camille de Rocca Serra, le député et président de la Chambre corse J.-M. D., J. L. et a. m.
Drôles de zozos ces intermittents du spectacle qui ont cru être des « artistes » parce que le régime socialogaulliste les « fonctionnarisait » ! Qui ont confondu la reconnaissance du régime avec celle du talent…
Les systèmes dirigistes quand ils deviennent totalitaires ont besoin de s’inféoder « la culture » pour disculper leurs méfaits contre la société. Oh, pas les créateurs de génie, non, les besogneux pour les mal rétribuer mais s’en servir.
Les acheter, les soudoyer pour qu’ils leur lèchent les bottes et leur donnent une contenance culturelle, juste le vernis, l’apparence !
Les « vrais » artistes, ceux qui ont leur art dans la peau, n’ont rien à faire des miettes de subventions ou d’allocations du système. Elles ou ils vont leur chemin sans se préoccuper des puissants. Plaire, oui mais à ceux qu’ils respectent et qui savent et apprécient. Être reconnus, oui mais par d’autres créateurs, de vrais connaisseurs.
Les socialogaullistes ont en commun cette approche médiocre et méprisante des artistes, de la culture. Ils demandent, habituellement, aux célébrités petites ou grandes, très passées, défraîchies, de venir faire de la figuration, de paraître dans leurs réunions électorales. Pathétique !
Ils ne leur demandent rien d’autre que leur présence à ce moment crucial pour leur réélection. Et surtout pas d’exprimer une opinion qui pourrait gêner. Des plantes vertes mais plutôt fanées…
Et l’art dans tout ça ?
> Ravalé au rang de faire valoir. La médiocrité en tête et surtout la vulgarité pour faire « peuple ».
> Pas les vrais talents : ceux-là risqueraient de montrer leur indépendance d’esprit.
> Pas ceux qui font ou déclament « du beau », de belles œuvres, de beaux textes. Non, uniquement la promotion des médias : la bassesse, la grossièreté et la vulgarité.
Ces « intermittents » ne sont que « du spectacle du totalitarisme socialogaulliste »… pas des artistes… de petits fonctionnaires… de médiocres figurants.
Leur place n’est pas au pied… des dirigeants politiques … mais au pied de leur œuvre !