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Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !

Guignol / mardi 23 octobre 2007 par La princesse enchantée
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Mohammed VI a fini par nommer son gouvernement. Brillant !

La composition du nouveau gouvernement marocain est enfin tombée le lundi 15 octobre. Elle est à l’image de son chef, l’istiqlalien Abbas el Fassi : à se tordre de rire. Elle montre que l’emprise du Palais royal sur la vie politique marocaine ne s’est jamais aussi bien portée sous Mohammed VI. Ainsi, le leader de l’USFP, Mohamed El Yazghi, réputé pour avoir fait son temps et tenu responsable par ses fidèles du mauvais score de son parti aux élections, décroche le seul poste de ministre d’Etat. Sans portefeuille toutefois, sa nouvelle fonction devrait lui permettre de continuer à roupiller. Ensuite, excepté Fouad Ali El Himma, les hommes dépendant directement du Palais présents dans la précédente équipe gouvernementale sont de retour. C’est le cas de Chakib Benmoussa qui retrouve sans surprise son poste de ministre de l’Intérieur, d’Ahmed Taoufiq, reconduit aux Affaires islamiques, et de Taïeb Fassi Fihri, nommé ministre des Affaires étrangères. Ce dernier occupait le poste de ministre délégué dans la précédente équipe gouvernementale mais était de facto l’homme clé de la diplomatie marocaine. Avec un bémol toutefois, il devra partager son rayon avec Yassine Mansouri, le patron de la DGED (équivalent marocain de la DGSE) qui s’occupe davantage de diplomatie parallèle que d’espionnage.

Certains nouveaux ministres méritent, eux, que l’on s’attarde sur leurs profils d’hommes-lige du Makhzen. Premier d’entre eux : le ministre de la communication, Khalid Naciri. En 2003, dans Le Matin du Sahara, la Pravda marocaine, il y assimilait « une presse indépendante et bien pensante » à « une feuille de vigne transparente ». Mieux encore, comme le rappelle le journaliste et chroniqueur Khalid Jamaï, le sieur Naciri déclarait un peu plus tard sur une chaîne de télévision que « le rôle des démocrates et des modernistes est de mener le combat contre tous les adversaires : ceux qui s’affichent clairement, ceux qui sont dans le flou artistique et ceux qui se dévoilent petit à petit. Ces trois catégories ont toutes un point en commun : elles se sont mises objectivement au service d’une entreprise pernicieuse de déstabilisation du pays, aux ramifications intérieures et internationales avérées. Qu’elles agissent par animosité délibérée, naïveté coupable ou arrogance puérile, le résultat est le même : il s’agit d’irresponsables qui doivent être combattus politiquement ». Un beaux discours aux relents staliniens pour cet ex-communiste qui, outre ses deux obsessions — la presse indépendante et les islamistes —, a amplement contribué à concevoir la fameuse théorie des lignes rouges (à ne pas franchir) chère au régime marocain.

Autre ministre prêtant à sourire : celui de la justice, l’inénarrable Abdelwahed Radi. Les tribunaux marocains étant réputés pour leur asservissement au Pouvoir, ce portefeuille lui sied à merveille. En octobre 2006, l’ami Radi, alors Président de la Chambre des représentants marocains, a réussi à mettre hors d’elle une commission du Parlement Européen chargée d’effectuer une mission sur les droits de l’homme au Sahara Occidental. Après avoir donné (au nom des autorités, il va de soi) son feu vert à cette visite, il l’avait tout simplement annulée. La raison officieusement invoquée par le royaume enchanté : la délégation européenne était « déséquilibrée » car plus de la moitié des députés étaient favorables aux thèses du Front Polisario. Ce caprice avait coûté cher au Maroc : quelques jours plus tard un rapport confidentiel des Nations Unies dénonçant les abus des droits de l’homme commis par les autorités marocaines au Sahara occidental fuitait dans la presse.

On observe enfin que le nouveau gouvernement inclut certains ministres spécialisés dans la transhumance de partis politiques. Fraîchement encartés au RNI (Rassemblement national des indépendants), une création toute droit sortie du chapeau de feu Hassan II, ceux-ci n’ont pas hésité à claquer la porte du Mouvement Populaire, leur formation d’origine, pour hériter d’un strapontin ministériel. Inutile de préciser que cette manipulation est l’œuvre du Palais royal.

Voir en ligne : in Bakchich n°51

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  • Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !
    le dimanche 16 mars 2008 à 14:36, bob a dit :
    "Le calvaire des citoyens à Salé. Un petit fonctionnaire du ministère de l’intérieur dont le foyer se retrouve illuminé par la naissance d’un nouveau-né, se rend à l’arrondissement Bab Lamressa muni du carnet d’état civil pour retirer 3 exemplaires d’extrait d’acte de naissance du petit et trois exemplaires du certificat de vie collective, pièces exigées par le ministère employeur, pour que notre petit fonctionnaire puisse bénéficier de quelques 150,00 dirhams en guise de prime de naissance mensuelle…Il parcourt cinq kilomètres pour se rendre à l’arrondissement en question étant donné que c’est là que l’enfant a été enregistré… Surprise ! Une fois sur place, on veut bien lui délivrer les extraits d’acte de naissance 24 heures plus tard, mais pour le certificat de vie collective il lui faudra aller à l’arrondissement dans le ressort territorial duquel il habite, Tabriquet, cinq kilomètres plus loin…Entre temps, bien sûr, il ne pourra pas aller retirer le certificat de vie collective parce qu’on lui a réquisitionné son carnet d’état civil, le temps que le responsable des extraits d’acte de naissance y jette un coup d’œil, c’est-à-dire 24 heures plus tard…A Bab Lamressa comme partout ailleurs, les fonctionnaires au guichet ne font que recopier les informations sur les imprimés en attendant l’arrivée du chargé des signatures…Les fonctionnaires des guichets ne servent en fait pas à grand chose…Le citoyen devra donc s’en aller et revenir le lendemain. 14,00 dirhams de transport ! Avec l’augmentation du prix de l’huile de table cette semaine encore, ce n’est vraiment pas la joie…Cependant, notre petit fonctionnaire bon citoyen ne se laisse pas abattre. Il décide de gagner du temps en essayant d’enregistrer un contrat de bail. Négatif, lui dira-t-on à l’arrondissement dans le ressort territorial duquel il relève en tant qu’habitant… Il devra aller à Sala El Jadida, 15 kilomètres plus loin…Quinze. Une autre ville ! Bien. L’Espoir. Au Maroc, c’est le ministère de l’intérieur qui en est responsable. Si les gens n’ont plus d’Espoir c’est parce que ce ministère les écrase trop…C’est parce que ce ministère refuse le changement tout simplement… Question : Qui est à la tête de ce ministère ? Réponse : Monsieur Chakib Benmoussa. Bien. Ce monsieur a-t-il ajouté un plus à ce ministère ? Négatif ! Pour s’en rendre compte, il suffit d’aller demander un certificat dans l’un des arrondissements du Royaume du Maroc… Question : Monsieur Chakib Benmoussa a-t-il failli à sa mission ? Réponse : Un grand oui tout en chœur ! Le Roi du Maroc a clairement exprimé sa volonté de faciliter la vie aux citoyennes et aux citoyens marocains, aux administrés. Si le Roi du Maroc a désigné monsieur Chakib Benmoussa à la tête du ministère de l’intérieur c’est bien parce qu’il a eu confiance en lui…Monsieur Chakib Benmoussa a-t- été à la hauteur de cette confiance… ? Rien n’a changé au sein du ministère de l’intérieur ! Très chères lectrices, amis lecteurs, je suis vraiment navré d’avoir été amené à faire ce constat bien réel malheureusement…Le dernier point évoqué dans ce complot pacifique contre le sous développement a concerné la Justice. Un lecteur a eu l’obligeance de me signaler qu’un caïd n’a pas le droit d’émettre ses points de vues avec autant de transparence… Réponse : Je ne suis plus caïd puisque j’ai été radié du corps des agents de l’autorité…La preuve matérielle en est que je suis privé de mes indemnités de fonction de caïd. C’est cela que l’on m’a d’ailleurs expliqué au ministère et partout ailleurs aussi…Aujourd’hui, je suis un simple petit fonctionnaire relevant du ministère de l’intérieur et percevant un salaire d’administrateur adjoint bien que méritant amplement le grade d’administrateur vu mon ancienneté au ministère de l’intérieur… Et, bien évidemment, je suis toujours interdit de travail, je n’ai toujours pas de bureau, pas de chaise, pas de mission après avoir été interdit de poursuivre mes études par ce même ministère…Pourtant, je ne me suis plain auprès d’aucun organisme international…En bon petit fonctionnaire discipliné, je reste mobilisé au service de mon ministère, chez moi, comme cela m’a été recommandé par mes supérieurs à plusieurs reprises et à toutes les occasions. L’obligation de réserve ne peut en aucun cas concerner la lutte contre la corruption… ! Même si monsieur le ministre Chakib Benmoussa n’est pas content, éventuellement…C’est que je suis d’abord et avant toute chose au service de mon Roi…Adorables lectrices et amis lecteurs, durant toute cette première partie de ce complot pacifique contre le sous développement, j’ai tenu à éviter de parler de mon cas. Le problème à ce niveau c’est que je ne voudrais pas me tromper en évoquant un autre cas comme il y en a tellement au ministère de l’intérieur…D’un côté, je ne voudrais pas, en évoquant le cas d’un autre, causer quelque malheur de plus à quelque autre agent de l’autorité honnête, éventuellement, sachant pertinemment quel est le sort que le ministère de monsieur Chakib Benmoussa réserve aux agents honnêtes…Pour en savoir plus se référer à mon livre « Parole de caïd »…Rien n’a changé depuis au ministère de l’intérieur…Jusque là…Rien. Bien. Les administrés vivent un calvaire insoutenable dans les arrondissements que dirige monsieur Chakib Benmoussa. Ceci est un secret de polichinelle. Le Maroc ne risque pas de se développer ainsi…Jamais le Maroc ne connaîtra le moindre soupçon de développement tant que le ministère de l’intérieur refusera de voir cette vérité en face. Je ne sais pas ce que proposeront nos esprits éclairés cités en introduction de ce complot pacifique contre le sous développement, mais pour ma part je puis assurer d’une chose : Monsieur Chakib Benmoussa touche 70.OOO, 00 dirhams par mois net. Sans parler des primes et du reste…Voilà ce que je propose à notre ministre de l’intérieur : En guise de bonne foi, je m’engage à rendre la relation du ministère de l’intérieur avec les administrés vivable et par conséquent génératrice d’Espoir, avec ce que je touche comme salaire actuellement, un salaire d’échelle dix, sans maison de fonction, sans primes, sans avantages et sans voiture de fonction. Bien évidemment, mon passage à l’échelle de rémunération 11 ne serait pas de refus, c’est là le moindre de mes droits…Mais ce n’est pas une condition ! Que l’on me fixe un délai ! En cas d’échec, j’exigerai de passer devant un tribunal. Populaire s’il le faut ! Je ne voudrais jamais être ministre. Monsieur Chakib Benmoussa pourra toujours s’occuper des grandes choses…Mais la question des administrés maltraités par les services du ministère de l’intérieur reste la question la plus importante à mon humble avis…Bien. Rien de tout cela ? Pas de problème. Je persiste et signe : Je veux un bureau et une chaise pour m’asseoir, étant donné que je suis fonctionnaire relevant du ministère de l’intérieur…Monsieur Chakib Benmoussa pourrait quand même pouvoir régler cette question au moins, non ? Son excellence, bien évidemment, n’est pas disponible, c’est sûr, mais je demande humblement à tous ces hauts fonctionnaires qui ont affaire à lui directement de l’informer de cette doléance… Merci." fennich.blogs.nouvelobs.com/
  • Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !
    le dimanche 25 novembre 2007 à 18:24, marocain a dit :
    Le bal des corrompus. Ce vendredi 23 novembre a eu lieu un ‘grand’ mouvement des agents de l’autorité au royaume du Maroc. Cet ‘évènement’ a été annoncé en grandes pompes au journal télé officiel. Rien de nouveau : Toujours le même profil qui prend du grade et toujours les mêmes honnêtes agents qui dégringolent…Sacré bon vieux Maroc et sacré bon vieux ministère de l’intérieur qui continue son combat acharné et sans répit contre l’honnêteté ! Au royaume du Maroc, on nous dit que nous sommes musulmans. L’Etat est musulman. Et pourtant, le ministère de l’intérieur est le plus grand partisan de la corruption bien que cela soit le plus gros péché en Islam…Notre ministre de l’intérieur, Chakib Benmoussa, est un ancien vendeur d’alcool, du temps où il était directeur de la plus grosse société étatique de fabrication de vin et de bière. C’est en vendant un maximum de litres d’alcool aux Marocains que monsieur le ministre a gagné ses galons au ministère de l’intérieur. Ah ! Si seulement monsieur le ministre n’était pas marocain musulman ‘dirigeant’ ! Il ne serait pas partisan de la corruption et des corrompus en tant que ministre marocain professionnel d’alcool…Mais, il ne faut pas généraliser, monsieur le ministre n’est pas si musulman que ça. Il est hypocrite c’est tout. Il pense que sa divinité USA est contente de lui car il sème le mal…Erreur, sa divinité ne sème pas le mal chez elle aux états unis…Et ce ne sont pas les USA qui sèment le mal au Maroc…Les Etats-Unis d’Amérique sont un Etat respectable qui respecte ses citoyens. Le royaume du Maroc est par contre un Etat qui méprise ses sujets. Peu importe qui sont nos ennemis, l’essentiel est de connaître leur valeur. Qui sont les ennemis du Maroc ? Ceux, étrangers, qui se soucient de la prospérité des leurs ou ceux, nationaux, qui assurent le sous développement et la répartition de la corruption au lieu des richesses ? Le mal au Maroc dépasse tout entendement. L’ère que nous vivons est celle de la fin. Du début du commencement. La renaissance est pour bientôt. Quelques décennies encore. La décadence a atteint des proportions si graves qu’elle en devient symbole d’espoir. Oui, au stade où nous en sommes, plus les choses pourrissent plus il faut s’attendre au changement…La décrépitude est désormais symbole d’espoir au royaume du Maroc. Dieu est grand. Vivement la mort.
  • Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !
    le vendredi 26 octobre 2007 à 03:15
    Pendant ce temps, le Maroc avance, signe des contrats et attire du fric, les autres imbeciles heureux continuent des articles debiles…
    • Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !
      le samedi 27 octobre 2007 à 00:55
      non ! les imbéciles ce sont ceux qui ce sont fait entuber avec l’achat du tgv, ceux qui vont avancer c’est les socités alsthom et cie grace à mr le President de la république française !
      • TGV au maroc, et des trains western en algérie
        le lundi 29 octobre 2007 à 11:36

        oui l’imbécile et ta critique à la con :

        Une fois, j’ai pris le train Alger-Annaba, j’ai cru assister à un film western des centaines de voyageurs attendent le départ du train. n’ayant pas d’horaires fixes Les wagons sont presque pleins, mais les voyageurs affluent encore vers le guichet pour acheter leur billet il y a des haraga (qui ne payent pas leur place)… A l’intérieur des wagons, les passagers suffoquent et suent à grosses gouttes et attendent impatiemment le départ. Il fait plus chaud que dans une étuve. Le train est surchargé. Les moins chanceux se sont mis debout devant les entrées des wagons. Il leur faut beaucoup de courage et de patience pour finir le trajet. En ces jours de grande chaleur, les gens préfèrent voyager le soir afin d’échapper à la canicule. Aucune crainte d’être attaqué, comme ce fut le cas dans un passé récent, par des groupes terroristes ou les appaches.

  • Gouvernement en Algérie : la farce révolutionnaire continue !
    le mercredi 24 octobre 2007 à 17:44, Mac Kenzi a dit :

    Des étudiants du centre universitaire de Saida, ont étudié le roman « Hogra », de M. Bouziane Ben Achour.

    Ils commentent que tous les algériens sont à des degrés différents, le produit d’une hogra collective où tout le monde se sent abaissé. De plus, ce titre est d’actualité. ‘’Hogra’’, au titre évocateur est une œuvre qui raconte l’histoire des habitants de Sidi El Bachir, quartier populaire à Oran, rongé par la misère rampante et l’injustice. Des fléaux qui révoltent devant l’exigence des autorités d’imposer un impôt pour quiconque empruntera la nouvelle autoroute qui mène au cimetière de Aïn Beida. Dès les premières pages, le lecteur comprend et apprécie le choix du vocable capable de résumer à lui seul toutes les humiliations, les injustices, les exclusions des petites gens. »

    Ils expliquent aussi, « l’auteur de Dix années de solitude et de Sentinelle oubliée change carrément de décor et bien sûr d’histoire avec le roman ‘’hogra’’, où il fait preuve d’un réel talent de conteur, une flèche qui manquait jusque-là à son arc. Cette trilogie est un chaleureux hommage à tous les anonymes ou plus exactement aux antihéros. » De la sorte, l’œuvre se réduit au gré de ses bifurcations à un prétexte pour déboucher sur une galerie de portraits de personnages de tout acabit, des plus tristes aux plus émouvants, en passant par les plus pittoresques. Dans un style agréable, aéré, qui puise harmonieusement dans l’écrit journalistique, théâtral, romanesque, historique, du conte populaire et du récit fiction.

    Bouziane Ben Achour pose d’une toute autre manière la problématique de l’échec. Il plante ses personnages et ses décors et nous raconte au bout de la plume la passion, les vicissitudes, les déboires, les préoccupations mais aussi les rêves, les espoirs et les révoltes de ces petites gens modestes que l’auteur a appris depuis très longtemps à connaître et surtout à aimer.

    D’après le quotidien algérien « El Watan »

    • Gouvernement au maroc : la farce révolutionnaire continue !
      le jeudi 25 octobre 2007 à 15:03
      mr maknaz, hors sujet vous etes à court de propos ; l’article parle du maroc et vous nous parlez d’algerie, sans y preter attention vous tombez dans le trou qu’on vous creuse : ha la démagogie à de long jours ,la rage vous tenaille sachant qu’il n’y a pas que les marocains dignent intellect,et les algeriens qui connaissent vos gouvernants !l’article est là noir sur blanc ,dommage, en couleur il aurait eu un impact différent là il est plus sobre, comme vous !vous fulminez mais vos réserves en herbe vous aident à passer le cap ! y a zatlin fayn radiene bel kedeb("endormi" ou allez vous avec vos mensonges) !
      • Gouvernement au maroc : la FORCE révolutionnaire continue !
        le lundi 5 novembre 2007 à 16:22

        les algeriens qui connaissent vos gouvernants ;

        question : ces algériens connaissent ce qui tramment chez eux ???

  • Gouvernement au Maroc : la farce démocratique continue !
    le mercredi 24 octobre 2007 à 13:30
    rien a dire du gouvernement mis a part que jen suis fier vive notre roi longue vie a lui &&& ya qu’a voir le gouvernement algerien corompu pr etre fier du notre
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