« Bakchich » continue ses sagas de l’été, avec cette semaine, un plongeon dans le merveilleux univers du ballon rond. Et un petit hommage au président Lyonnais Jean-Michel Aulas, dont l’humilité et la bonne foi sont légendaires.
Papier paru le 9 novembre 2007
Quand Jean-Michel Aulas, le président de l’Olympique Lyonnais fait la leçon à un journaliste qui enquête sur son parcours, un discours empreint de sagesse.
Six titres de champion de France consécutifs (NDR sept désormais), une hégémonie financière et sportive incontestable, le président de l’Olympique Lyonnais Jean-Michel Aulas a tout pour être heureux. Enfin, si les journalistes n’existaient pas. Ou s’ils s’évertuaient à ne jamais le critiquer.
« J’ai eu une belle vie, ma seule déception, c’est mes relations avec les journalistes, qui quelques fois, m’ont injustement traîné dans la boue », fait-il mine de regretter, comme le rappelle Thomas Nardone dans son livre : Aulas l’enquête interdite, (pas disponible partout).
D’ailleurs s’amuse Nardone, le boss de l’OL eut l’ingénieuse idée d’expliquer qu’un « bon » journaliste doit « être un supporter de l’OL ».
Et Aulas ne se prive pas de frictionner les oreilles de Nardone avec ses bons conseils dans l’extrait audio ci-dessous. Une jolie leçon de vie et d’humilité de respect.
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Mais à quoi sert cet article ??? On dirait un paragraphe tout droit sorti de choc. Aucun contenu, auncune analyse, c’est dépitant. Je suis supporter stéphanois depuis plus de 27 ans maintenant et je ne me sens en aucun cas proche de Monsieur Aulas humainement parlant. Je trouve effectivement qu’il adopte parfois un ton (trop) condescendant, qu’il utilise le communiqué de presse larmoyant bien trop facilement et qu’il incarne une façon de voir notre société très éloignée de mes idéaux. Je serai donc plutôt enclin à apprécier un bon papier sur lui. Mais là, 0 pointé, naze de chez naze, vous repasserez !
Monsieur Monnier cela fait plusieurs fois que je remarque la faiblesse de la qualité de vos écris par rapport à d’autres contributeurs de ce site. Un conseil,abandonnez le journalisme. Et si vous ne savez pas quoi faire, je cherche actuellement un peintre en batîment. Avec votre coup de patte, je suis sûr que vous feriez un excellent travail.
Pierre, homme dépité.
PS : j’ai lu le bouquin de M.Nardonne qui, de toute évidence, n’a rien à vous envier.