Une des plus belles révélations "contrôlées" du procès Khalifa : les 900 agents de sécurité sans agrément de la Khalifa bank
Le procès du scandale Khalifa rentre dans sa troisième semaine, et ça commence à sentir mauvais. C’est un procès qui sent les sacs en plastique remplis d’argent passé de mains en mains, ce procès pue et il empuante tout le pays. Par delà le procès lui-même, les coupables et les innocents, les complicités dans les plus hautes sphères de l’État comme disent pudiquement quelques avocats, je crois que ce procès aura un effet dévastateur sur les consciences écoeurées par ce déballage, ce pillage en règle d’un pays déjà épuisé par tant de catastrophes.
C’est donc ça, le système algérien, avec sa police, son armée qui maintiennent sous le joug de leurs armes les petites gens, les gamins des quartiers populaires, et qui regardaient ailleurs pendant que dans les nouveaux quartiers d’affaires, des pillards organisés en bande, sans l’ombre d’un scrupule, se partageaient des milliards de dinars, sautant d’un avion à un autre, d’une réception à une autre !
De toutes les révélations contrôlées de ce procès, celle qui me laisse abasourdie est celle du système de sécurité mis en place à la Khalifa Bank. C’est l’histoire d’un ancien inspecteur de police, Châachaouâ Abdelhafid, Directeur Général chargé de la protection et de la sécurité, recruté par Moumène Khalifa, le big boss, et qui recrute à son tour pas moins de 900 agents de sécurité pour faire circuler tout cet argent d’un coin à un autre de la ville… en toute sécurité.
900 personnes ! Mais c’est un bataillon ! Et la juge de demander, « et vous n’aviez pas d’agrément, pour ce faire ? », « non madame le juge, je n’avais pas d’agrément, mais j’en avais demandé un au ministère de l’Intérieur et ne voyant rien venir, j’ai proposé à Moumène de mettre en place une structure de sécurité interne à la banque. » Et pourquoi pas, s’est exclamé alors le fils Khalifa. Et la juge de demander : « Et vous étiez payé 22 millions de centimes pour ce travail », sans parler des avantages en nature, terrains, villas, dont une achetée à plus d’un milliard, mariage somptueux, « je crois, a-t-il dit évasif, que c’était pour environ 100 millions de centimes » ? Eh bien oui, ma petite dame, il n’allait quand même pas diriger un bataillon volant de fric bénévolement, non ? Entretemps, de sacs en plastique en sacs en plastique, quelques 120 milliards de dinars ont disparu. Et la juge de s’étonner : « Et vos hommes n’étaient même pas armés ? ». Encore heureux, madame, ai-je envie de lui dire, sans armes ils ont mis le pays en coupe, alors s’ils étaient en plus armés, ils auraient pris le pouvoir. À moins qu’ils ne l’aient déjà pris… au fond, c’est la seule explication à cette sordide affaire.
SVP, son nom est Khalifa pas moumene en plus son prenom c’est abdelmoumen et faite attention car d’autres familles porte le nom moumene.
please, his name is khalifa not moumene and his first name is abdelmoumen make attention because they have a familly with same name.
Comment khalifa a pu arriver a monter un empire de cette empleur ? il a peut etre tout simplement déstabiliser certains dirigent de se pays par cette réussite qui a dépasser leur prévision, ces meme dirigent qui veulent laisser les algerien dans l’obscurité intellectuel et qui veulent les laisser croire que la réussite n’est qu’un reve
Peut etre que khalifa a ruiner l’algerie mais il faut d’abord commencer par juger la nomenclatura de ce pays, il est pourtant trés simple de le faire , il y a qu’a voir leur train de vie et leur patrimoine (plutot de leur famille) car officiellement rien a leur nom pour se rendre compte qu’ils ne vive pas que de leurs salaires de (haut placer) meme le plus petit des enquéteurs peut se rendre compte de ca.