Le JDD évoque un « mariage imminent », peut-être dès février, entre Nicolas Sarkozy et Carla Bruni. Bakchich vous le confirme : la belle a bien dit « Oui » à son soupirant pressé. Et souhaite un bébé très vite. Du pain bénit pour un président dont la popularité baisse ?
Elle n’a finalement pas hésité très longtemps. Selon le Journal du Dimanche, le mariage serait imminent, peut-être le 8 ou 9 février. Une information que le porte-parole de l’Elysée, David Martinon, a aussitôt commenté selon son refrain habituel : "pas de commentaire".
Bakchich peut cependant vous le confirmer : selon des sources proches des amoureux, Carla Bruni a bien accepté la demande en mariage de Nicolas Sarkozy. Et tout pourrait s’accélérer, tant les tourtereaux semblent pressés. Confidence supplémentaire, puisée aux meilleures sources : à 39 ans, Carla, déjà mère d’un petit Aurélien (dont le père est Raphaël Enthoven), souhaite un enfant avec Nicolas. Vite.
Leur liaison, étonnante pour deux êtres si dissemblables, ne remonte pourtant qu’à la mi-novembre, comme Bakchich l’avait raconté dès la révélation de leur rapprochement. Fulgurance de l’amour ? Volonté de reconstruire rapidement une image politique "glamour" alors que sa popularité dégringole - selon le dernier baromètre mensuel CSA - i>télé - « le Parisien » - « Aujourd’hui en France », seuls 48% des Français lui font confiance pour affronter les vrais problèmes du pays, soit une baisse de 7 points par rapport à décembre ? Souhait vital de tourner la page, de reconstruire une vie de famille, après les mois de tensions avec Cécilia et un divorce consommé ?
Le président, en tous cas, "fou de Carla" selon ses proches, n’a pas hésité. Deux semaines après leur première rencontre passionnelle lors d’un dîner chez le publicitaire Jacques Séguéla, Nicolas lui a demandé sa main. Elle fut surprise, décontenancée, elle qui est peu habituée à pareil voeu d’officialisation rapide et réputée pour son tempérement de picoreuse d’hommes. Lorsque Bakchich a révélé cette volonté de Nicolas, la plupart des médias se sont interrogés. Si tôt ? Est-ce possible ?
Mais la demande, nous le confirmons, a bien été formulée début décembre et des dates évoquées pour un possible mariage, d’abord en juin, après la tournée de la chanteuse, puis de manière plus rapide, et pourquoi pas le plus vite possible, dès février. Carla avait quelques semaines pour donner sa réponse. Tous les journaux ont ensuite embrayé sur ce rôle délicat de "première Dame de France" qui pourrait être dévolu à l’ex-top model, sans savoir si ce pseudo-conte de fées - un peu trop beau ? -durerait vraiment plus qu’un songe.
Leur sortie commune, sous les yeux des photographes, au parc d’attractions Eurodisney, le samedi 15 décembre, laissait pourtant penser que le duo s’était déjà accordé sur la médiatisation d’une relation prévue pour durer au moins quelques temps… Accompagnant Nicolas Sarkozy lors de son voyage à Rome, sa mère, Marisa Bruni-Tedeschi, a confié que le Président lui avait demandé la main de sa fille, sans "avoir aucune raison de lui refuser". Cette confidence amusante confirmait, si besoin était, l’empressement de Sarkozy à officialiser cette relation. Et la joie de la future belle-mère, qui s’affichait tout sourire lors de cette escapade romaine, justifiée par une visite présidentielle au pape.
Après la sainte mère, entourée de tous les soins présidentiels, la soeur de Carla, l’actrice et réalistarice Valeria Bruni Tedeschi a, selon nos sources, été conviée plusieurs fois par Nicolas Sarkozy, afin de faire connaissance. Connue pour ses positions anti-sarkozystes, celle-ci a refusé en décembre plusieurs sollicitations venue de l’Elysée, s’étonnant même de l’insistance présidentielle à vouloir réunir à tous prix la famille Bruni autour de lui. Comme s’il voulait en faire rapidement son nouveau cercle intime. Voire l’agrandir, avec une nouvelle paternité, puisque le désir de Carla d’avoir un deuxième enfant est grand, à l’approche de la quarantaine.
Carla, tiraillée entre son souhait de préserver farouchement son indépendance et son envie de suivre l’élan de son soupirant, lui a dit "Oui" avant de partir en vacances luxueuses en Egypte, fin décembre, dans le jet de son ami industriel Vincent Bolloré. Un voyage controversé, soit-disant "privé, mais qui avait déjà toutes les allures d’une lune de miel officieuse. Nicolas lui a offert une bague en diamant et Carla, en retour, une montre Patek Philippe. Le couple de "fiancés" est décidément très bling-bling. Cela rappelle davantage les Grimaldi que les Kennedy.
Le dernier week-end passé à Petra, en Jordanie, avec Carla et son fils Aurélien, suite à une invitation "privée" du roi Abdallah II à séjourner dans sa résidence près d’Aquaba, change la donne, renforçant le faisceau de présomptions d’une officialisation imminente. Car il soulève des questions de fond, qui ne manquent pas de faire débat.
La "vie privée" d’un Président aussi médiatisé n’a pas grand-chose à voir avec le sort commun, surtout quand on passe son temps à voyager aux quatre coins du monde, à représenter la France et à rencontrer des chefs d’Etat étrangers, même de manière décontractée pour un week-end.
Difficile d’apparaître devant les photographes lors de ce voyage quasi-officiel en Jordanie, en compagnie d’une "amie" sans donner un minimum d’explications sur le statut, actuel ou futur, de cette "amie" qui le suit partout. Comme le rapporte le site du Nouvel Obs, selon l’agence de presse indienne TPI, l’Elysée a aussi fait savoir aux autorités indiennes que Carla Bruni pourrait accompagner le chef de l’Etat lors de sa visite dans ce pays le 24 janvier, ce qui constitue, dans l’état actuel des choses, un véritable casse-tête diplomatique pour les services du protocole indien. Imagine-t-on Gordon Brown ou Romano Prodi débarquer à Dehli ou à Washington en tenant la main d’une "copine" sans fournir d’explications ?
Ayant toujours joué de cette médiatisation, le Président ne coupera pas aux questions qui se posent sur cette liaison mondialement affichée, des attractions de Mickey aux tombes de la Vallée des Rois, des salles à manger de l’hôtel Bristol aux vestiges nabatéens de Pétra. La conférence de presse qu’il donnera mardi 8 janvier en sera forcément l’occasion. Les journalistes lui souhaiteront-ils des voeux de bonheur avec un peu d’avance ?
Bonjour.
Contrairement aux affirmations du JDD, je suis le premier à avoir révélé la date du 9 FEVRIER pour le mariage entre Sarkozy et Bruni.ET CECI LE 19 DECEMBRE 2007.
ALLAIN JULES COMMUNICATION