Nicolas Sarkozy était l’homme, le bonheur des Français qui se rêvaient Lewis Hamilton au volant d’une Fuego. Au bout d’un an, la Fuego n’a pas l’accélération d’une McLaren et le bonheur s’est dégonflé comme un pneu. Jean-François Probst raconte la fin du rêve.
L’été sera spirituel, ou ne sera pas.
Cette semaine, notre savant chroniqueur Jean-François Probst, qui en sait lourd sur la politique française pour avoir conseillé Jacques Chirac, Charles Pasqua, Alain Juppé ou Jean Tibéri, professe une nouvelle leçon magistrale sur ce qu’a apporté un an de sarkozysme au bonheur des ménages français.
L’étalage "m’as-tu-vu ?", les Rolex, les historiettes, les SMS ont-il diable oui ou non fait rêver les Français ? Les facéties présidentielles et l’univers qu’elles proposent ont-elles apporté un peu de bonheur à une nation morte d’ennui sous Raffarin, endormie sous Chirac ? Sarko fait-il encore rêver ?
Et quelle image du bonheur impose-t-on aux Français, depuis un an, avec les people divorces Hollande-Royal et Nicolas-Cécilia ?
Pour le savoir, cliquez sur les galéjades du Professeur Probst. Ainsi aborderez-vous la seconde année du mandat présidentiel, au terme de cette série d’été, plus heureux que vous ne le fûtes jamais.