Madââme n’aime pas le Crillon, décidément trop bas de gamme. Elle lui préfère le Ritz. Résultat : Dior, son sponsor en France, a dû régler une note salée.
L’actrice Sharon Stone, comme presque nul ne l’ignore, se trouvait à Paris il y a huit jours. On l’a vue notamment croiser les jambes à la Sorbonne où elle a tenu à défendre ses « engagements » lors d’un débat sur la lutte contre le Sida à la 17ème Cité de la Réussite. Au grand dam des paparazzi, qui tous se remémoraient la scène culte de « Basic Instinct » où elle était dépourvue de sous-vêtements, Sharon avait hélas pour l’occasion mis une culotte…
Si on ne peut même plus compter sur Sharon ! C’est la réflexion que de concert on s’est fait, tant chez Dior que du côté du magazine Elle, les discrets sponsors de la tournée parisienne de Sharon Stone. Ainsi par contrat était-il prévu que l’actrice serait hébergée à l’hôtel Crillon, le prestigieux établissement de la place de la Concorde.
A peine débarquée de son avion privé – un Falcon – au Bourget, Sharon Stone, apprenant la terrible nouvelle, fait aussitôt savoir qu’il n’en est pas question : « Quand je suis à Paris, je descends au Ritz » a-t–elle immédiatement répliqué, avant d’ordonner au chauffeur de la conduire « Place Vendôme, à la maison ! ».
Si les caprices de star ne se discutent pas, chez Dior comme à Elle où l’on avait négocié un accord avec le Crillon, le fait de régler « plein pot » la facture du Ritz (et du parfait inconnu qui a partagé sa suite lors de son séjour) fait grincer des dents. Chacune essayant de se refiler la note…
Mais que l’on se rassure : comme à chaque fois qu’elle passe à à Paris, Sharon n’a pas manqué de remplir ses obligations. Incontournable, l’escale shopping chez… Dior où, rapportent les gazettes, elle a « acheté » (sic) « trois sacs et une robe ».
La dure condition des stars…