Le président des Etats-Unis est devenu le 23ème Américain à recevoir un prix Nobel depuis la création de la récompense voulue par l’inventeur de la dynamite.
Barack Obama est devenu vendredi 9 octobre le 23ème Américain à recevoir un prix Nobel depuis la création de la récompense voulue par l’inventeur de la dynamite.
La fondation Nobel a récompensé le président américain pour "ses efforts extraordinaire pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples".
La traditionnelle polémique du Nobel de la Paix remis à un chef d’Etat en exercice est donc respectée, même si la récompense ne salue pas seulement l’activité en cours de mandat d’Obama.
Pour preuve, la twittosphère s’est immédiatement enflammée, divisant les internautes sur les premiers thèmes : les Etats-Unis sont un pays en guerre ; Obama c’est quand même un grand homme ; mais c’est un peu tôt, etc.
L’occasion rêvée de lire ou relire sur Bakchich.info…
… et les chroniques de notre correspondant américain Doug Ireland.
Bakchich.tv vous a aussi concocté La Guéguerre des prix Nobel de la Paix.
Enfin, Ségolène Royal gagne un point de "hype" grâce à son université populaire participative lundi dernier organisée avec Bernard Henri-Lévy sur… Obama. Reportage.
Le prix de faussaire de monnaies doit être décerné à Idriss Deby
Ni la justice Bahreïnie, ni la justice Française ne l’ont oublié : Il ya exactement onze ans, en 1998, Idriss Deby Itno, bien que trônant au sommet de l’Etat Tchadien depuis 19 ans, avait trempé les mains jusqu’aux biceps, dans une gigantesque opération de fabrication de fausse monnaie qui avait tout simplement failli mettre l’économie de l’Etat de Bahreïn en cessation de paiement. Question : la justice Tchadienne – ou ce qui en tient lieu – s’en souvient- elle ?
Après avoir démonétisé en catastrophe ses coupures de 20 dinars – objets de cette criminelle contrefaçon -, l’Autorité Monétaire Bahreïnie avait bien initié dès 1999, une procédure devant la Chambre du Tribunal Correctionnel de Paris. Mais, ô scandale, la justice Française s’active, depuis lors, à noyer ce dossier. Comme on le ferait d’un poisson. À qui profite le crime ?
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Ndouné