Le patron du Journal Hebdomadaire, Aboubakr Jamaï, 39 ans, a démissionné pour sauver son bébé des griffes d’une justice marocaine aux ordres. Le co-fondateur de la publication, Ali Amar, a repris les rennes de ce titre phare de la presse indépendante marocaine. Retour sur la carrière du journaliste le plus influent du Maroc de Mohammed VI.
Le patron du Journal Hebdomadaire, Aboubakr Jamaï, 39 ans, a démissionné pour sauver son bébé des griffes d’une justice marocaine aux ordres. Le co-fondateur de la publication, Ali Amar, a repris les rennes de ce titre phare de la presse indépendante marocaine. Retour sur la carrière du journaliste le plus influent du Maroc de Mohammed VI.
C’est une mauvaise nouvelle pour la liberté d’expression qui se réduit comme peau de chagrin à l’approche des législatives de 2007. Le directeur du Journal Hebdomadaire, Aboubakr Jamaï, a été contraint de démissionner. C’était la seule façon pour sauver la publication menacée par une amende de 3 millions de dirhams infligée pour “diffamation”.
Le crime du Journal ? Un article sur un “rapport” écrit par un certain Claude Moniquet sur le Front Polisario et les campements de réfugiés de Tindouf. Des campements situés dans le Sud algérien où ce zouave n’a pas mis les pieds vu que l’Algérie, où il avait pourtant jadis ses entrées, lui a refusé un visa. Le Journal avait estimé que sa prose était « téléguidée » par Rabat. Pas de quoi fouetter un chat tant le Moniquet recopie les thèses marocaines sur le sujet…
Dans l’impossibilité de payer, Aboubakr Jamaï a préféré prendre les devants, échaudé par le précédent de l’affaire Benaissa, du nom du tartuffe faisant office de ministre marocain des Affaires étrangères. En 2000, Le Journal s’était fait l’écho de ses magouilles aux États-Unis et Jamaï avait alors écopé de trois mois de prison fermes et de dommages et intérêts fixés à 2 millions de dirhams. Le directeur général du Journal, Ali Amar, avait, lui, pris deux mois fermes. Face au tollé suscité par cette condamnation, le pouvoir a battu en retraite obligeant la justice, en appel, à transformer la prison ferme en sursis et à réduire l’amende à 500 000 dirhams. Grippe-sous, Benaissa avait réclamé son dû et ne voyant rien venir s’était retourné contre Le Journal qui a dû payer.
Ce n’est donc pas la première fois que le pouvoir marocain se casse les dents sur Le Journal Hebdomadaire. En janvier 2001, Jamaï a même fait deux jours médiatisés de grève de la faim pour protester contre l’interdiction du titre. Là encore le régime recule. Il faut dire qu’en matière de rébellion contre un ordre malsain établi, Aboubakr Jamaï a de qui tenir. Son grand-père est l’un des fondateurs du parti de l’Istiqlal (Indépendance) et son père, Khalid, a remis Driss Basri plusieurs fois à sa place. Peu porté sur le respect des droits de l’homme, le ministre de l’Intérieur de Hassan II, l’a même fait embastiller quelques mois, sans omettre de le torturer.
Jeune, Aboubakr Jamaï n’est pourtant pas sensible à la politique et au journalisme. Il se rêve athlète et suit des cours de physique/chimie à Paris, qu’il sèche. De retour au Maroc, il fait une grande école de commerce à Casablanca puis un MBA à Oxford. Il débute sa carrière dans la banque et crée au bout d’un an une société de courtage. Trois années plus tard, il rejoint les équipes de Mustapha Terrab, alors conseiller au Cabinet royal et aujourd’hui “monsieur mains propres” de l’Office chérifien des phosphates.
En 1997, il fonde avec Ali Amar et un troisième homme qui sera plus tard remplacé par Fadel Iraqi, Le Journal Hebdo. Jamaï a 29 ans et le roi Hassan II, vieillissant, s’apprête à desserrer son étau sur le Maroc en y introduisant une dose de démocratie. Le Journal marche alors du tonnerre, la pub afflue, les ventes cartonnent. Deux ans plus tard — Hassan II est à l’agonie —, changement de ton. Le Journal doit être imprimé en France pour contourner la censure. Depuis, le harcèlement des autorités n’a jamais cessé : écoutes téléphoniques, piratage de mails, interdiction aux entreprises de passer de la pub, campagnes de diffamation dans la presse-poubelle, style La Gazette du Maroc ou Aujourd’hui le Maroc, manifestations de “barbus” du ministère de l’Intérieur devant les locaux…
En dépit des pressions, Jamaï ne couche pas la plume. Édito après édito, il dénonce la mauvaise gouvernance, les délires des petits Nérons du Maroc avec une prédilection pour Fouad Ali El Himma, appelle à une réforme constitutionnelle, s’adresse directement au roi dans une lettre ouverte. À force, Jamaï et Le Journal sont devenus trop gênants. Trop influents aussi. Qui a dit que le Maroc était une démocratie ? « Ils feront tout pour couler le Journal mais lui maintiendront la tête en dehors de l’eau pour s’en servir comme alibi démocratique devant les Américains » disait encore cet été un proche du pouvoir… Et maintenant qu’Aboubakr Jamai a quitté son magazine et annoncé son départ pour l’étranger ? En attendant son retour, Le Journal, repris par Ali Amar, continue. Exactement sur la même ligne éditoriale.
En réponse à ton post un peu confus :
1- le Maroc n’est pas "démocratique", mais en transition démocratique. Ca veut dire qu’il y a des hauts et des bas. Ce n’est pas une progression constante, mais la tendance est vers l’amélioration. Si on compare la situation avec la fin des années 90, les marocains sont sans contexte plus libres dans leur ton, leurs idées et leurs actions (voir le foisonnement d’ONG)
2- concernant les arrestations arbitraires : arrêter 3000 personnes de manière assez brutale n’est pas toujours acceptable. mais il faut arrêter la démagogie qui consiste parfois à vouloir être plus démocratique que les vrais démocrates. Le Maroc vit une situation qui n’est pas celle de la Suède. Il faut être réaliste : qui s’attendait à ce que l’Etat prenne des gants avec des présumés terroristes, même innocents. Nos sociétés arabes sont des sociétés encore basées sur la force. Il ne faut donc pas faire la vierge effarcouhée par rapport aux méthodes qui ont été utilisées. Et les premiers à jouer les offusqués, sont les premiers à craindre le salafisme (y compris le concerné par l’article) qui gangrène les zones périphériques des grandes villes.
Troisièmement : je suis assez d’accord avec toi. L’incurie et la nullité d’une bonne partie de la classe politique ne sert pas le pays à long terme. l’institution monarchique en profite évidemment. Même si le Roi en retire un bénéfice certain, lui-même est question que le développement véritable (notamment en ce qui concerne la décentralisation et les élites locales) ne peut se faire sans des relais efficaces et fiables (autrement dit les politiques). Même si sa task force est efficace (projets de développement etc.) et que l’action gouvernementale est "suivie" de près par ses équipes, tant que du bon boulot est fait, il faut avoir l’honnêteté de le reconnaître. Il y a 10 ou 15 ans je n’aurais sûrement pas tenu ces mêmes propos, mais là, force est de constater qu’il bosse. Et puis, à terme, je pense que le Maroc s’acheminera vers un modèle espagnol.
Quatrièmement : les brasseries du Maroc ont été vendues au Groupe Castel en 2003.
Cinquièmement : je pense que là aussi tu verse dans le misérabilisme à la parisienne et à la démagogie de taxi. Je pense que tu connais pas le système d’impôts au Maroc. L’impôt sur le revenu n’y es pas particulièrement élevé par rapport à des pays similaires. Par contre, les milliardaires et les richards et les voleurs qui ne paient pas l’impôt ca c’est anormal. De même que les grosses sociétés qui ne paient pas leurs impôts ca c’est scandaleux. Enfin, les avantages des hauts fonctionnaires et des hauts gradés ne sont absolument pas normaux. Tour cet argent pourrait permettre une meilleure redistribution des richesses.
Boubker Jamaï voilait des problèmes d’égo quasi-obssessionnels par rapport à la personne du Roi sous un voile de lutte contre le régime. Son magazine sert à quelque chose certes, il a sa place, (à la frange de l’acceptable sur certains sujets), mais je me refuse de tresser des lauriers à M. Jamaï, comme le font nombre de ses collègues occidentaux.
A mon ami Aboubakr Jamaï 4/2/2007
Aboubakr, Je suis de tout coeur avec toi compte tenu du violent embargo économique qui t’accable du fait de cette condamnation-fiction à payer 300 millions à je ne sais qui… Aujourd’hui c’est toi qui pars demain ce sera ton successeur qui sera peut être condamné à payer un milliard à quelqu’un d’autre et lui aussi partira…Je pense que l’idée de partir est à banir parce que c’est au Maroc que tu devras continuer à écrire, à graver avec ta plume remarquable ta liberté, tes aspirations et ton espoir de voir un jour le Maroc doté d’une Justice libre.. Reste donc dans ton pays pour braver d’autres défis…Tu pourras continuer d’écrire et signer tes écrits malgré tout parce que la loi te le permet en attendant non pas de payer la taxe fictive à laquelle tu as été condamné mais en attendant une justice indépendante. Aboubakr, reste parmi nous le Maroc a besoin de toi..le Maroc a besoin de ses voix libres…Garde le moral et ne quitte pas la terre de tes ancêtres parce que tu es au dipason des patriotes…Tu es le produit de la société marocaine et c’est au Maroc que tu as affiné ton expérience et aussi ta plume…Je me rappelle lorsque nous étions au collège et que tu collectionnais les prix d’excellence et que tu laissais nos professeurs de français bouches bées devant tes rédactions, ton style et ton vocabulaire aussi recherché que spontanné. J’étais assez bon aussi en français mais je n’avais que la deuxième note…Attention, si tu pars je risque d’aller revendiquer la première note au collège, je leur dirais que tu as déclaré forfait ! Non, Aboubakr, reste dans ton pays, ce pays que tu aimes et laisse-nous rire de tout ça, laisse-nous garder le sourire… Aboubakr, continue d’écrire et reste ce même journaliste national que nous avons connu le siècle dernier…Il ne faut absolument pas que tu abandonnes au 21 ème siécle malgré tout… Et dire que je comptais sur toi pour me montrer les ficelles du journalisme pour en faire, qui sait, mon futur métier et gagne pain dans un futur proche ! Nous n’avons pas toujours affaire à des enfants de coeur mais restons chez-nous quand même, c’est notre pays. Mais quelle est donc cette manie de ces pays civilisés qui nous prennent toujours nos meilleurs éléments au moment où nous avons le plus besoin d’eux ? Négatif ! Il ne faudra pas partir cette fois et retourne à tes écrits parce que sinon ce sera bien triste… Aboubakr, Voilà en gros ce que j’avais à te dire mais sache que quelle que soit ta décision, abandonner le Maroc ou rester parmi-nous, je la respecterai. signé : Younes Fennich caïd radié pour cause d’honnêteté
Leçon d’un expert marocain qui n’a pas trouvé de travail au Maroc à propos de la censure du blog du caïd fennich :
"Exemple en chine on interdit tous les sites jugés subversifs par le gov…à cause de ça, tout les opposants sont en prison. mais en plus c’est les sociétés privées Américaines qui vendent la méche au gov Chinois en contrepartie de leurs continuité et existance sur le réseau chinois…question de démographie population utilisatrice …de pognon de flouss… : voir : http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-google-censure-ses-resultats-pour-la-chine-18455.html.
on ce qui concerne ton cas :
je ne peux pas vérifier d’ici ; puisque : www.3006.aceblog.fr est accesible.
à partir du Maroc s’il veulent le couper (on dit en informatique le filtrer) c’est très simple : en gros il y a deux serveurs (câble trans-méditéranéen à Tanger et câble transatlantique passant par casa) portes d’entrées pour tout le bled.
sur ses serveurs (portes d’entrées=gros systéme d’ordinateurs qu’on appellent des NOEUDs ROUTEURS péres, d’autres Noeuds fils sont sur fès et Marrakech : c’est des rondpoint ou il ya bcp de traffic), il y a des firewalls pour bloquer ce que les animaux : (DST, DRG…etc.) veulent biens bloquer ( il suffit de mettre la liste des adresses à filtrer web ex : www.xxxxxxxxxxxxxxxxx.xxx) pour que ces adresses deviennent inaccéssibles donc interdites.
il faut comprendre que les deux firewalls d’entrées sont gérées par le ministère de l’intérieur et ça dans tout les pays du monde…
pour info : voir tout l’informatique sur : http://www.commentcamarche.net/protect/firewall.php3
dans l’exemple tout les ordis (le réseau) marocains sont à droite. on peut tout filtrer à l’entrée comme à la sortie. "Big Brother Watching us"
Qu’est-ce qu’un pare-feu ? Un pare-feu (appelé aussi coupe-feu, garde-barrière ou firewall en anglais), est un système permettant de protéger un ordinateur ou un réseau d’ordinateurs des intrusions provenant d’un réseau tiers (notamment internet). Le pare-feu est un système permettant de filtrer les paquets de données échangés avec le réseau, il s’agit ainsi d’une passerelle filtrante comportant au minimum les interfaces réseau suivante :
une interface pour le réseau à protéger (réseau interne) ; une interface pour le réseau externe.
Le système firewall est un système logiciel, reposant parfois sur un matériel réseau dédié, constituant un intermédiaire entre le réseau local (ou la machine locale) et un ou plusieurs réseaux externes. Il est possible de mettre un système pare-feu sur n’importe quelle machine et avec n’importe quel système pourvu que :
La machine soit suffisamment puissante pour traiter le traffic ; Le système soit sécurisé ; Aucun autre service que le service de filtrage de paquets ne fonctionne sur le serveur."
Source http://inpbpm.zeblog.com
La solution d’exil n’est que mauvaise pour de nombreux cerveaux marocains, car il y a déjà trop de marocains utiles au pays à l’étranger et l’avenir à l’étranger pour un marocain notamment en France est sans intérêts, car les tentacules makhzeniennes sont bien présentes dans l’Elysée dans la DST ( on parle même de fusion des services makhzeniens et ceux de la V république en cas d’élection de SARKOZY ) …donc des ennuis peuvent arriver à tout moment pour n’importe quel marocain vivant en France pour délit d’opinion sur la monarchie ( la smala vieille sur les intérêts de la monarchie dans l’hexagone )…c’était déjà le cas pour MOUMNE DIOURI pour un simple livre …
Hassan 2 avait construit des prisons de condamnation à mort, ou des opposants politiques mourraient dans des conditions abominables ça n’a rien à avoir avec GUANTANAMOU……il a finit par perdre toute sa fausse crédibilité, c’est pour ça qu’on conseille pour M6 de changer de tactique, de laisser les peines de prisons et les remplacer par l’arme de l’argent, à punir celui qui risque d’écrire même que le monarque a mis sa couronne à l’envers….car au Maroc on baise de la main et se taire…. est dans la constitution. ( apparemment le boutiquier AZOULAY serait dispensé de baiser la main, imaginez pourquoi !!)
Ce qui est paradoxale chez ces monarques ( ils sont nombreux, dont certains ne sont même pas marocains, dôle de monarchie !!) c’est que la libre pensée les dérange jusqu’à l’os, du Royaume jusqu’à l’hexagone, en même temps ils vantent et s’affichent dans la cour des grands leur fausse ouverture, même si cela coûte cher, tant pis l’argent du peuple est entre leur mains….. et la presse makhzeinienne prend le relais pour décrire sans jamais se lasser que ce maroc est les plus beau royaume du monde, royaume de modernité d’ouverture, puis suit l’organisation des concerts et des festivals de tolérance avec l’invitation des smalas chargé de relayer cette image à l’étranger….et c’est comme une boucle d’info et de faits.
Si le makhzen trouve une porte de sortie à la liberté d’expression et pousser ainsi à l’exil surtout en France ( ou il sera encore mieux surveillé voire censuré voire piègé et condamné ) ça sera une victoire pour ces makhzeniens, dont les agissements et les erreurs seront à l’abri des informations…..ce qui permettra à sa presse d’écrire ce qu’elle veut, de tuer sa concurrence, à savoir que la presse makhzenien ne vend même pas d’exemplaires dans tout le royaume.
Une fois il n’y a plus de force vivre, comme il a dit hassan en 1984 devant ses amis, après l’élimination du dernier général, et un par un tous les hommes qui lui faisaient ombre : « je suis comme un poisson dans l’eau » …. alors que c’était un véritable poison dans l’eau des marocains.
Donc si l’exil est le consensus entre ceux qui risquent de nuire ou même empêcher d’avoir accès au gâteau makhzenien …ça finira par un pays sans hommes, sans élite et puis sans âme…..mais tant pis car le plus important c’est d’abord qu’il y ‘aura plus l’ombre autour de ce roi, dont le culte a battu tous les records ces derniers temps, de père en fils on peut dire que peu de choses ont changé. La déception commence à atteindre la communauté internationale.
Mais en France, Qui continue de dire que le jeune monarque incarne modernité ouverture ? la smala amis du Maroc….oseront relater l’intox, dans l’irresponsabilité totale.
La liste non exhaustive est déjà décrite par : PERRAULT, TUQUOI, GRACIET BEAU des livres sans appel….alors la smala parasite, les vieux des vieilles sans conscience ; quand vous êtes de passage dans ce que vous appelez votre second pays, vous ne méritez que des claques et des fessées à la place des tagines, et ça sera pour bientôt.
@ cet inconnu,
Comme dit le dicton égyptien " la kida 3aguebe, wala kida 3aguebe" quoi qu’on fasse certains voient tjrs de la manipulation qui se cache pas très loin. C’est sur que je ne suis pas du tout fiere que le Maroc soit cité pour ses années de plomb. Mais lachez un peu les baskets au Maroc. Pour la nième fois réformer une monarchie vieille de 1200 ans n’est pas chose aisée, mais au moins au Maroc on fait l’effort de le faire et on sait que ce n’est pas de tout repos. A moins de disposer de la baguette magique de Moise, les choses ne peuvent pas se transformer du jour en lendemain. Alors please, SVP, allah ireheme likom al waliddine lama laissons nous respirer un peu. Nous ne sommes que des êtres humains après tout.
PS : ta remarque sur André AZOULAY me déplait énomrément d’autant plus que vos propos sont formulés de manière ambivalente.
Il ne faut pas attaquer André Azoulay parce qu’il est Juif. Non, non… Il n’est pas non plus sioniste. C’est vrai.
André Azoulay, c’est juste, comme l’ont écrit Nicolas Beau et Catherine Graciet dans "Quand le Maroc sera islamiste", un escroc qui a fait de l’intermédiarat avec son frère Marcel, une bonne omelette à la marocaine.
Il y a une photo parue dans Le Journal Hebdomadaire qui montre un noir marocain baiser la main d’André Azoulay devant des responsables marocains.
Je demande : Azoulay est-il devenu roi du Maroc ? André 1er ?
Allah oumahada mounkar !!!
Kalimate le fachot antisémite , la réussite d’Azoulay dans les affaires et ensuite dans la politique est suffisante pour contredire tes relents nauséabonds . Azoulay est un juif modéré qui appelle à un état palestinien autonome .
Le citoyen qui a baisé la main d’Azoulay est un Souiri ( Essaouira ) . Ce qu’a fait , et fait encore , Azoulay pour sa ville natale Essaouira est une leçon pour les extrémistes , les jaloux et les fachos de ton genre . Les citoyens d’Essaouira sont reconnaissants envers le citoyen juif marocain d’ESSAOUIRA de sa sollicitude envers sa ville natale .
Azoulay est un citoyen marocain qui participe au dévellopement du royaume . Quand à toi tu restera dans ton coin de fachos incapable de faire quoi que ce soit pour le dévellopement de son pays .
Je te plains .
JAMAI 2TAIT UN AMBITIEUX POUSS2 PAR SON P2RE IL VOULAIT SA PART DU GATEAU MAIS FAISAIT LE FIER SINON ALI AMMAR LE BORDELINE (bordélique),il pése pas lourd
pour le reste bravo rachid d’agadir Azoulay est un marocain comme tous les marocains et à droit au respect et à la dignité étre juif n’est pas une insulte ’c’est plutot un honneur vu ce qu’ils sont devenus
(je ne crois pas qu’ils sont le peuple élu de dieu que je ne connais pas d’ailleurs ,je ne l’ai jamais rencontré dans le métro (comme dit le Grand Ali l’exilé de casablanca je pense aussi que mon amie la princesse enchantée est un peu voyou sur les bords aves ses insultes de bordels
roule maandou bagage (qui ?????????????????????))