La défaite du PS aux élections européennes signe-t-elle la mort du parti ? Jean-François Probst se veut optimiste, même s’il considère urgent de trouver un leader socialiste.
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Probst, je vous le dis en toute simplicité, vous vous fourrez le doigt dans l’oeil ocmme tout l’UMP si vous imaginez une seconde que nous sommes dupes de vos manigances collectives pour nous coller Hollande en tête d’affiche. Ce type a été jugé par ses pairs, c’est-à-dire les militants, les élus et les électeurs comme un loser de 1ère. Nous avons pleinement conscience que c’est ce qui arrange la droite, mais c’est non. Sinon je vous trouve un peu rosse avec Montebourg qui est tout sauf mitterrandien même s’il pratique la grimpette du Mont Beuvray avec ses copains de la rénovation tous les ans. Il a en effet tout ce qu’il faut pour être à la tête sinon du grand parti d’un autre, du sien ou d’un grand ministère ou d’une assemblée ou de quelque chose, et il le ferait bien. Vous m’avez par ailleurs blessée, mon arrière-grand-tante était marquise et je suis de la roture par mon père, mes manières horripilent et pourtant je ne mange pas de caviar ni de cailles aux raisins. A part que votre plaidoyer était nettement orienté notamment sur l’affaire des bourrages d’urnes qui n’exonère pas le moins du monde les 2 corses de Paris que vous savez car - et j’ose même dire vive le bourrage d’urnes en comparaison d’électeurs fantômes -, votre interview était assez intéressante.
Tout le monde veut enterrer le PS, mais il s’en charge bien tout seul. Allez à la prochaine, vous vous faites rare pourtant l’actu est chaude !
Très décevant Probst sur ce coup-là.
Non, le bipartisme n’est pas la solution, c’est le problème.
Et le parti socialiste, une idéologie ? La même que celle de la droite, on laisse les multinationales prendre les rênes…
Je crois qu’il n’y a plus grand monde qui veuille cela en France.