Jacques Chirac, nouvel ami de l’écologie, des ourang-outangs et des peuples premiers, vient de lancer sa fondation humanitaire. Le savant chroniqueur de « Bakchich », Jean-François Probst, se souvient du bilan écologique et humanitaire de l’ancien président dont il fut le conseiller. Émotion et sourire garantis.
L’été sera spirituel, ou ne sera pas.
Cette semaine, maître Probst qui fut jadis conseiller de MM. Chirac, Pasqua et Tibéri, nous parle librement de M. Jacques Chirac et de sa Fondation pour le développement durable et le dialogue des cultures. Une sacrée invention, qui offre une occasion de rappeler comment le président Chirac contribua avec force au développement durable de l’agriculture… intensive. Ou au dialogue entre les peuples et… leurs dictateurs.
Probst en profite pour suggérer au nouveau Gandhi une piste originale de financement…
Ecoutez Probst, car au terme de cette série d’été vous aborderez la seconde année du mandat sarkozien plus chiraquien que vous ne le fûtes jamais.
Je poste mon premier commentaire sur cette vidéo, parce que je ne comprends toujours pas l’intérêt de ces interventions de JF Probst.
On sent qu’il aime traiter le sujet de façon bling-bling, avec le petit trait d’humour, sans, au final, aucun véritable point de vue sur ce dont il parle.
Le fond d’aigreur ressort aussi beaucoup. Puis il est bien de critiquer certains aspects de la politique de Chirac, mais au final, Probst y a en partie participer. Pour autant, cela ne résonne pas comme un méa culpa.