Rechercher dans Bakchich :
Bakchich.info
UNE BRÈVE HISTOIRE DE BAKCHICH

Tags

Dans la même rubrique
Avec les mêmes mots-clés
RÉCLAME
Du(des) même(s) auteur(s)
MONDE / MOYEN-ORIENT

Carnet de route Israël-Palestine (I)

reportage / samedi 26 janvier 2008 par Anaëlle Verzaux
Twitter Twitter
Facebook Facebook
Marquer et partager
Version imprimable de cet article Imprimer
Commenter cet article Commenter
recommander Recommander à un ennemi

Une journaliste de « Bakchich » raconte à sa façon son voyage vers « l’endroit le plus sensible au monde ». Où elle s’aperçoit que le fameux Mur tant décrié commence pas loin, à Roissy, Terminal 2…

26 décembre 2007, aéroport de Roissy.

Première fois pour la Terre Promise, embarquement immédiat. Tel Aviv, Jérusalem, Ramallah, Naplouse, Eilat et quelques pas, quelque part en Egypte vers le Sinaï, voilà la feuille de route de mes premiers pas vers l’endroit le plus sensible au monde. Le plus scruté. Le plus décrit. Le plus décrié. Le plus fantasmé. Des Croisés des croisades à Flaubert Gustave, de François Mitterrand à Rika Zaraï, je dois reconnaître qu’ils sont quelques-uns à m’avoir précédée.

El Al.

En hébreu signifie : En l’air.

Avec El Al, et c’est El Al qui le dit, vous vous sentez " chez vous loin de chez vous ".

Et en effet je m’attendais à voir le Mur, mais je ne pensais pas qu’il commençait ici, à Roissy, chez nous, porte B03, terminal 2. Une chouette ambiance d’abord. Deux bidasses genre les vautours du Robin des Bois de Walt Disney qui se traînent encore lourds de dinde et de bûche. Un type me fait signe d’approcher. C’est juste pour me poser quelques questions. Nom, prénom, date et lieu de naissance, vous transportez des bombes ? Vous avez fait votre sac vous même ? Bref, un type qui sait parler aux femmes.

Un deuxième prend le relais. Mêmes questions, mêmes réponses. Vous avez des armes ? Des explosifs ? Une lime à ongle ? Il me laisse à une jeune femme. Souriante, celle-là. Mêmes questions. Puis le sourire se fige. Vous avez des amis Palestiniens ? Israéliens ? Qui viennent du Proche-Orient ? Libanais ? Syriens ? Oh ça non, quelle horreur, pensez-vous, dis-je ! Et l’ami qui est avec vous là, hein dites moi, comment l’avez vous rencontré ? Quels sont vos rapports ? Je commence à me crisper. Mais, non, " c’est pour votre sécurité ", m’assure-t-elle. Et on continue. Votre métier ? Journaliste. Mais je viens comme touriste. Ah, journaliste ? Où ça ? Dans un journal satirique d’information en ligne qui s’appelle Bakchich. Pardon ? Vous pouvez répéter le nom ? Bakchich, je dis. Bakchich ? Ah, mais c’est arabe ça !? Non, c’est pas arabe, je fais, c’est du persan. Et toc ! Même que c’est passé dans le langage courant en France. Je connais pas Bakchich, elle fait. Et elle épelle le mot lentement, B. A. K. C. H. I. C. H. Ca vous dérange si on va voir ce que c’est ? Parce que je connais pas. Non non, on peut aller voir, je dis.

Carnet de route - JPG - 73.1 ko
Carnet de route
© Nardo

Devant l’écran de son vieux PC, elle me demande de la connecter au site. Vous pouvez me montrer vos écrits ?

Et là, oups ! Je me souviens avoir chroniqué le livre de John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt intitulé – accrochez-vous – Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine. Comment lui expliquer qu’il s’agit d’un des livres les plus importants et des plus commentés sur la question depuis sa parution aux Etats-Unis en 2007 ? Je m’arrange pour qu’elle passe à côté. Facile, c’est moi qui tiens la souris.

L’épreuve est terminée. Elle aura duré une bonne heure. C’est peu m’assure-t-on plus tard. « Israël ou la culture de la peur ». C’est le titre du dossier de Courrier International de cette semaine là.

Aéroport Ben Gourion, Tel Aviv

Oh, comme il a de grandes oreilles Ben Gourion !

Une remarque entendue devant la statue du père de la nation, au bout d’un couloir interminable de l’aéroport de Tel Aviv.

En réalité, c’est sa coiffure qui donne cette impression. Ben Gourion, soyons précis, avait des oreilles de taille normale. Mais c’est la sculpture représentant sa coiffure qui lui donne ainsi un petit air de Mickey Mouse en moins gai.

Mais j’approche de la Céleste, il serait temps de consulter mon guide touristique.

Jérusalem

Je lis. Jérusalem, ville de plus de 700 000 habitants, dont 470 000 Juifs et 230 000 Palestiniens (ces estimations datent de fin 2006). A voir absolument, le dôme du Rocher, la Mosquée Al-Aaqsa, et le Mur des lamentations.

D’accord, mais en arrivant dans la cité, ce que je vois de Jérusalem, c’est des routes, un mur et des barbelés. Le mur, je savais bien sûr, mais tous ces barbelés… Les barrières structurantes déstructurent la belle ville compliquée. Je perds vite mes premiers repères.

La vieille ville

Nous l’abordons par les ruelles de Jérusalem Est. Le dôme doré et le mur des lamentations me séduiront plus tard. Pour l’heure, je préfère me perdre dans les coulisses de la vieille ville. Un labyrinthe de pauvreté, d’agitation, de cris, de vie. Les cris, ce sont ceux des commerçants. On vend des vêtements, des légumes, des gâteaux, des jus de fruits… Une petite grenade pressée ? Des tissus, des tapis, ah encore des gâteaux ! Une dizaine de Palestiniennes de tous les âges se regroupent autour d’un heureux vendeur de sacs à main sexy, très sexy même (les sacs, pas le vendeur) ! Quelques hommes recroquevillés dans un espace de 2 mètres sur 2 boivent un thé et fument le narguilé autour de pions et de dés. On croise des gosses qui jouent à la balle. Le plus âgé d’entre eux (12 ans ?) s’approche de moi et me fait le baise main. On rit. Passage du côté israélien. D’abord les sacs sous les portiques. Très vite, les lamentations, les chuchotements, les chants, une fête religieuse ! Les hommes d’un côté les femmes de l’autre. Les spectateurs ne peuvent pas les voir ces femmes en prière. Derrière pointent le dôme du Rocher et la grande Mosquée Al-Aqsa. Beau symbole. Il ne représente en rien la réalité du pays.

Un p’tit tour dans Jérusalem Ouest

Vendredi après-midi, il commence déjà à faire nuit, je me promène avec mon ami dans les rues de Jérusalem Ouest. On cherche une boutique où acheter une bouteille de rouge. C’est pour le dîner, chez des amis israéliens. On monte une longue avenue, au hasard. Qu’est-ce que les rues sont vides… Pourtant, cette petite place qu’on vient de traverser rassemble souvent beaucoup de monde. C’est de là que partent les manifestations.

Machinalement, on prend la première à droite. A droite encore… Ah, enfin, des personnes arrivent en face, un groupe. Ecoute, ils parlent anglais, des touristes on dirait… non, écoute, ils parlent de leur mission, convertir les Juifs…

Ce sont des Chrétiens Sionistes, américains.

Elle est vraiment difficile à trouver cette bouteille de rouge, tout est fermé. C’est bizarre qu’ils nous aient invités un vendredi soir, en général les Juifs passent cette soirée en famille, non ? Vendredi soir, c’est Shabbat. Ah, mais oui, c’est Shabbat, c’est pour ça que tout est fermé.

Enfin pas tout quand même, parce qu’on fini par tomber sur un café ouvert. Assez branché d’ailleurs. La terrasse est chauffée ? Chauffée. On s’assied. Un thé à la menthe et un chocolat chaud s’il vous plaît, il est bizarre le chocolat, il faut aller repêcher les carrés fondus loin au fond du verre. Autour de nous, il y a quelques autres personnes, de différents pays. Il y a deux Indiens là, assis autour d’une petite table ronde au bord du trottoir, et puis le couple derrière, ils doivent être d’Amérique du sud, non ? Et puis il y a nous, français.

On parle, on parle, et tiens ? Ecoute, des chuchotements. Ca vient de la rue derrière tu crois ? Ils sont de plus en plus forts tes chuchotements, c’est des voix d’hommes, ils martèlent un truc en coeur. Tu entends toi ? Ils disent quoi ? Ils disent « Shabbat, Shabbat / Shabbat, Shabbat ».

Ils arrivent. Ils sont six, revêtus de la tenue traditionnelle des Juifs orthodoxes, avec le haut chapeau noir et le long manteau. Celui qui marche un peu en avant des autres dirige le groupe on dirait. Ils approchent, et s’arrêtent. Juste devant le bistrot. « Shabbat, Shabbat / Shabbat, Shabbat ».

La porte du café claque. C’est la serveuse qui la ferme de l’intérieur. Ils ne bougent plus, mais continuent à dicter le « Shabbat », assez fort. On entend vaguement le voisin dire : « il arrive qu’ils lancent des pierres ». On voit la serveuse qui s’énerve un peu derrière la porte vitrée. Ils repartent, toujours de conserve, sans avoir lancé de pierres.

Le café aurait dû être fermé. C’est tout ? C’est tout.

Je vais acheter ma bouteille de rouge à l’intérieur.

Demain, suite du reportage : dans les territoires palestiniens


AFFICHER LES
15 MESSAGES
0 | 5

Forum

  • Carnet de route Israël-Palestine (I)
    le dimanche 18 janvier 2009 à 12:40, vaghia a dit :
    Rudement bien, si juste et vivant, si bien écrit, et je suis jalouse de ton humour ! moi j’ai flippée complètement lors du dernier interrogatoire, non seulement les questions idiotes, répétitives, mais un déshabillage suivi d’une radiographie ! ( j’ai du métal dans la colonne !) j’ai simulée une crise de nerf pour échapper à ce qui me paraissait le pire ! pas de détails ! merci encore, tu es une reportrice formidable
  • Carnet de route Israël-Palestine (I)
    le vendredi 16 mai 2008 à 02:37
    Je trouve trés bonne la démarche de ce reportage car il apporte un minimum d’informations pour les non-initiés au conflit.Une chose pour finir "nous sommes tous des palestiniens", cette phrase prendra tout son sens quand la vérité éclatera au grand jour.. Peace
  • Carnet de route Israël-Palestine (I)
    le vendredi 8 février 2008 à 10:52, andré a dit :

    tu es payé pour ça ?

    c est plat, du déja vu, déja entendu. de l inutile…

  • Carnet de route Israël-Palestine (I)
    le lundi 28 janvier 2008 à 01:48

    pour commencer :

    El-Al ne signifie pas dans l’air mais vers-sur… El-Al n’est pas la compagnie la plus chaleureuse, je vous l’accorde. Son accueil sécuritaire en glace plus d’un. Cependant, c’est la méthode qui a permis à la compagnie d’éviter un grand nombre d’attentats et qui fait qu’un certain nombre de voyageurs préfèrent embarquer sur ses avions que sur ceux d’autres compagnies.

    Il est certain que Jérusalem-Ouest n’est pas la ville la plus animée un vendredi en fin d’après-midi puisque comme vous l’avez constaté, c’est le début du Shabbat… Mais de toute manière Jérusalem n’est pas la ville séculaire du pays, ni la plus festive ! J’aurais aimé que vous donniez la parole à des Israéliens qui regrettent le climat que les religieux font subir à certains quartiers de Jérusalem. Ne serait-ce que pour ne pas donner l’impression que la ville n’est habitée que par des fous de Dieu. Enfin, je crois savoir que votre programme vous mènera à Tel-Aviv. Vous risquez d’être surprise !

    Je trouve que votre reportage est dès les premières lignes teinté d’une opinion bien tranchée, construite par des années dogmatiques anti-israéliennes. Il est dommage que vous n’ouvriez pas un peu plus vos yeux en vous rendant si loin en reportage. Loin de moi l’idée de vous transformer en ultra-sioniste mais simplement d’essayer de comprendre un peu plus les forces en présence et la diversité d’opinion qui traverse cette région du monde. Les Israéliens ne sont pas un agrégat de fous torsionnaires envahis par la peur - même si la peur est un sentiment très répandu dans le pays - et les Palestiniens ne sont pas tous de gentilles brebis égarées sur les chemins du Hamas.

    Si vous faites votre travail avec un tant soit peu de rigueur et de curiosité, vous devriez rencontrer quelques Israéliens qui défendent la cause d’un état palestinien (même à Jérusalem je vous assure, cachés derrière les barbus orthodoxes qui jettent des pierres), des Arabes israéliens qui ne souhaitent pas perdre leur nationalité israélienne, quelques Palestiniens qui vous diront être écoeurés par leurs dirigeants qui ont dilapidé les aides internationales et ont jeté la population dans les mains du Hamas.

    Le principal reproche que je ferais aux Israéliens, dans leur ensemble, est l’indifférence. Les Israéliens ne savent pas et ne veulent pas savoir ce qui se passe de l’autre côté du mur qu’ils ont construits, certes pour se protéger (voeu conscient), mais surtout pour ne plus avoir à se préoccuper de leurs voisins (voeu inconscient).

    C’est cette indifférence qu’il faut combattre afin qu’une paix durable devienne possible. En moquant la violence, la montée des intégrismes et le mode de vie d’un camps et en "angélisant" l’autre camps dans une bien-pensance quelque peu naïve, vous ne faîtes que dresser des murs supplémentaire.

    • Carnet de route Israël-Palestine (I)
      le lundi 28 janvier 2008 à 16:29, Maxwel a dit :

      L’indifférence des israéliens sur les exactions envers les palestiniens est la confirmation de leur consentement Il existe bien quelques israéliens contre, mais la grande majorité est pour, Et je préfère l‘expression : ""Qui ne dit mot consent"" Renvoyé sur la corruption le ralliement aux Hamas est le raccourcit typiquement sioniste Si les accords d’Oslo avait été appliqué avec la résolution de l ONU de 1967 avec l’arrêt des colonisations effrénées depuis cette date, pour rendre irrévocable l’occupation d’une grande partie de la Cisjordanie comme sans vantait si bien Shamir en son temps Ou comme le projet de résolution du Prince Bernadotte d’août 48, pour mettre fin à la déportation et spoliation des palestiniens seulement 6 mois après la proclamation de l’état israélien en Mai 48 (600 à 700milles) en contre partie de la shoah en Europe et quelque magouilles étasuniennes sur certain petit état à leur bottes, pour obtenir le vote à L’Onu Projet qui lui valu d’être assassiné avant qu’elle ne soit votée et appliquée (par un groupe terroriste du futur premier ministre) pensez-vous manifester pour le 60ème‘anniversaires de ce meurtre le 17 septembre 2008,

      Je me demande même souvent si les quelques organisations soi disant pacifiste ne sont pas des émanations du pouvoir pour créer une certaine illusion de démocratie, si démocratie il y a elle n‘est apparente que pour les juifs (État Juif avant tout) , Comme le Hamas le fut en son temps pour combattre le FPLP, OLP et autre soutient d’Arafat. La journaliste de Bakchich ne fait que raconter ces impressions plus tôt neutre par rapport à une réalité bien plus monstrueuses Pour comprendre il faut y passer plusieurs fois et ne pas fréquenter les endroits chics de Tel Aviv, ou un non juif neutre est vite écarté s’il pose des questions, ou simplement est étonnée des exubérances de certain pendant que ceux qui ne sont pas en perm tuent. Un Week End à Tel Aviv sur le front de mer est enfer pour les non juifs, même dans les grand hotels qui voient débarquer beaucoup de nantis de jérusalem et qui s’octroient tout les droits même celui de vous chasser de votre fauteuil le samdi APm et le dimanche pour cause de mariage, bar mitsva et autres

      Moi je plains sincèrement les palestiniens après avoir séjourné maintes fois à tel aviv pour mon job, même si je n’étais pas un élus, Le dégoût de ces voyages obligés, mon amené dans un premier temps de prendre l’avion pour Chypre les Week end et m’en faire interdire définitivement après saturation. Avant moins premier voyage j’étais plus tôt pro-isralien, ils m’en ont eux même dégoûter par leur suffisance et soi disant supériorité, les entendre raconter comment et combien de palestiniens ils avaient abattus à leur retour de période était ignominieux et difficilement supportable, surtout quantr c‘tait fait devant des arabes palestiniens travaillant pour les israéliens. Leur bassesse est infecte et sans limite, dés Charle de Gaule en plus des contrôle identitaire fouille merde, les israélien essais dans la queue avant contrôle pour enregistrement, de vous refiler ses suppléments de Bagages tout en sachant que c’est interdis par la sécurité, en croyant rendre service le naïf, peut se mettre dans de sérieux emmerdements avant d‘embarquer, et ce n’est rien par rapport a ce qui vous attends à Ben Gourione Airport tant à l’arrivé qu’au retour. Pour conclure le vous recommande d’aller sur les sites sionistes lire les articles déjectionels de vos amis Maxwel

      • Carnet de route Israël-Palestine (I)
        le mardi 12 août 2008 à 15:59, rene a dit :
        je vois que ce charmant correspondant donne des conseil a qui le veut pour pas chere bien sur il commente des evenements et des accords qui tous sont des actes tres theorique au meme titre que l’image qu’il se fait de la vie d’un israelien de tous les jours il est facile de donner des conseilles du font de son pays en paix qui n’a connu de guerre dans sont teritoire que celle de 39 45 et avant quant un habitant vie le terrorisme dans sa chaire et son sang quant un citoyent qui ne demande que la vie un job et elever ses enfants dans la paix quand un homme est agressé par des polititiens qui forment des gens comme lui mais de l’autre coté pour tuer des femmes et des enfants qui vont prendre le bus le matin pour aller a l’ecole quand un homme vie cela ont ne peut lui dicter ce qu il doit faire du font de ses vacances passés en israel ou ailleur, et venir lui dire ce qu’il doit et ne doit pas faire, mais cette reaction est humaine on croit qu’il suffit de s’ecraser devant la violance pour que les violants ce calmes, venez voir la preuve en france dans des quartiers ou personne n’ose mettre les pieds arretez de donner des lecons pas de pretention ce conflit fait souffrire des hommes et des femmes des deux coté et je lit dans cette article que les israeliens sont insensible a la souffrance des autres ? quel reflexion nule vous ne connaissez rien a ces deux peuples qui ont toujours vecus ensemble et qui aujourdhui souffres regardez de quel coté etait la souffrance et de quelle coté etait la joie dans l’echange de cadavre et d’assassin qui a eu lieu au liban et vous conprendrai que rien n’est facile reflechissez reflechissez braves gents ne vous laissez pas influancer par le 20 heure
  • Carnet de route Israël-Palestine (I)
    le dimanche 27 janvier 2008 à 22:27
    La vie doit être pénible dans un pays pareil.Le coup des religieux qui viennent emmerder leur monde me rappelle une triste période où les barbus de mon pays (Algérie) sont venus nous jeter des pierres (véridique) car on jouaient dans la rue un vendredi après-midi au lieu d’aller prier (on avaient entre 6 et 10 ans) . Comme quoi, qu’ils soient barbus juifs ou musulmans tous des c***
0 | 5
BAKCHICH PRATIQUE
LE CLUB DES AMIS
BEST OF
CARRÉ VIP
SUIVEZ BAKCHICH !
SITES CHOUCHOUS
Rezo.net
Le Ravi
CQFD
Rue89
Le Tigre
Amnistia
Le blog de Guy Birenbaum
Les cahiers du football
Acrimed
Kaboul.fr
Le Mégalodon
Globalix, le site de William Emmanuel
Street Reporters
Bakchich sur Netvibes
Toutes les archives de « Là-bas si j’y suis »
Le locuteur
Ma commune
Journal d’un avocat
Gestion Suisse
IRIS
Internetalis Universalus
ventscontraires.net
Causette
Le Sans-Culotte