Un journaliste d’investigation français pense avoir percé le secret de sa mort : tragique !
Suicide ou meurtre ? Le mystère Marilyn intrigue et fait depuis un demi siècle le beurre de dizaines de biographes, romanciers, et même celui de notre Vanessa Paradis nationale avec « Marilyn et John ».
Et voilà qu’en 500 pages, un petit malin s’attaque au sujet et pourrait bien avoir percé un très vieux secret, celui du décès de la blonde atomique. Bigre ! Ce petit malin est surtout un grand journaliste d’investigation, William Reymond, l’auteur entre autres d’enquêtes sur JFK et sur Coca-Cola.
Dans Marilyn, le dernier secret, tout juste sorti chez Flammarion, il commence par dégommer les mythes fondateurs de la poupée parfumée, celle qui murmurait au président des Etats-Unis, John Fitzgerald Kennedy, un langoureux et équivoque « Happy birthday… ». Et bien justement, voici un mythe balayé par le journaliste : selon l’enquête du journaliste, Marilyn n’était pas la régulière des deux frères Kennedy.
Aux dernières heures de sa vie, l’actrice était droguée, ravagée aux derniers degrés par les amphets et les anxiolytiques ? Foutaises ! démontre William Reymond, qui a découvert une manipulation montée de toutes pièces par la Fox, qui avait besoin de justifier le licenciement de la star.
En connaisseur, l’auteur garde le meilleur pour la fin. Le clou de son enquête : un témoignage inédit sur les causes de la mort de Marilyn. Que vous découvrirez en cliquant sur cette vidéo.
Cher … Moi ,
Il est toujours enrichissant de constater cette tendance réductrice assimilant une intervention de quelques minutessur un plateau de télé ou radio à un livre de près de 500 pages.
L’exercice promotionnel permet rarement de citer ses sources au détour de chaque affirmation. Autrement, il deviendrait vite inaudible.
Par contre, j’ai évoqué le travail de Spoto, y compris dans ses nombreuses limites, lors des entretiens avec la presse écrite.
Mais le plus important est ailleurs.
C’est à dire dans les pages d’un livre qu’à travers vos propos anonymes vous critiquez sans l’avoir lu.
Si c’était le cas, vous auriez pu voir qu’au delà de Spoto- qui y est largement évoqué - je cite systématiquement l’ensemble de mes sources.
Il aurait été illusoire, stupide et fou de s’afficher en " découvreur" de certains éléments d’une histoire qui, depuis 45 ans, a déjà été largement visité.
Cordialement,
William Reymond
P.S : une petite note supplémentaire sur Spoto. Son livre est avant tout une BIOGRAPHIE consacrée à Marilyn. Ces derniers jours sont évoqués sur quelques pages seulement. Et, Spoto, qui ne s’est jamais présenté comme un enquêteur, utilise allègrement des informations provenant d’autres ouvrages. Je vous invite donc à une relecture attentive de ses notes de bas de page afin d’apprécier son talent de …. " découvreur".
Marilyn Monroe : ça c’est du scoop ça, c’est de l’information d’investigation !
Sur son site internet "Bakchich" n’a pas consacré une seule ligne sur le massacre israélien d’une centaine de Palestiniens.
Je vois maintenant pourquoi il en consacre au "Clergyman" Ardisson ou à "Cotillard, Defonseca, Meyssan… Vérités et mensonges"
"Bakchich" presse de caniveau ? Ce serait un compliment !
D’accord avec le commentaire précédent, après l’article sur Ardisson, la censure honteuse sur les commentaires argumentés relatifs au 11 septembre ,c’est la dernière fois que je visite ce site. Dommage, j’étais sur le point de m’abonner.
Bye.
Marilyn Monroe : ça c’est du scoop ça, c’est de l’information d’investigation !
Sur son site internet "Bakchich" n’a pas consacré une seule ligne sur le massacre israélien d’une centaine de Palestiniens.
Je vois maintenant pourquoi il en consacre au "Clergyman" Ardisson ou à "Cotillard, Defonseca, Meyssan… Vérités et mensonges"
"Bakchich" presse de caniveau ? Ce serait un compliment !
En 1993 le grand biographe (Et cinéphile) Donald Spoto (Au départ universitaire et théologien ! Doyen de son université) pondait un livre sur Marilyn Monroe qui démontait tous les bobards accumulés sur l’actrice et donnait l’explication plausible de sa disparition par une intoxication médicamenteuse qui aurait été dissimulée par ceux qui l’avait accidentellement provoquée, par qui proquo médicalo-psychiatrique. Avec la complicité innocente de la gouvernante.
On a toujours été surpris de voir la foultitude de ragots qui ont pourtant continués à servir de base à moult articles ou documentaires sur l’actrice. Spoto mettait en parallèle les agendas de Monroe et Kennedy (L’un fixé à Washington, et l’autre à Hollywood) et en déduisait l’impossibilité d’une liaison intense, pour des raisons de distance ! Les excités de l’extrême droite républicaine ayant été les durables vecteur intéressés de tous les mensonges sur cette love affaire dont Spoto remettait même en doute la seule consommation !
On reste toujours baba devant l’amnésie et l’inculture d’un certain journalisme qui fait souvent mine croire novateurs des ouvrages qui sont pompé dans des ouvrages oubliés. La bio de Spoto est un livre "total", tant cinéphile que biographique.
Entendre Reymond chez Bern, sur inter l’autre jour, se poser en "découvreur" de ce qui semble avoir été pompé chez Spoto, sans que le nom de ce dernier ne soit évoqué, donne un un goût un peu faisandé à tout ça.
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