Cette semaine, « Bakchich » se retrousse les manches pour doper le pouvoir d’achat des ménages français. Il vous donne la recette, la vraie, élaborée à partir d’une enquête étalée sur cinq ans, pour épouser un millionnaire. Tous nos voeux de bonheur.
Ce n’est ni un gag, ni une réclame à deux sous pour vous conduire vers l’achat d’un chauffe-pieds électrique. Mais une véritable enquête sur le petit monde des ultra-méga-riches et de leurs parasites. Pendant près de cinq ans, Jean-Barthélémy Bokassa, qui n’est autre que le petit-fils du célèbre empereur déchu Jean-Bedel Bokassa, a observé le manège d’une catégorie d’humains que seuls connaissent les méga-millionnaires. Les « castors » : spécimen opportuniste que l’on ne croise que dans les palaces, marinas, et hauts lieux de villégiature bling-bling.
Bokassa junior, jeune éphèbe à la plume bien trempée, en a rencontré plus d’une centaine. Il s’agit de femmes et d’hommes qui partent en chasse du millionnaire, le ferrent comme un poisson, et engloutissent sa fortune toute crue. Leur but n’est pas la destruction de la proie, mais de vivre comme une moule accrochée sur son dos.
Certaines castorettes occupent des appartements de 700 mètres carrés rue du Faubourg Saint-Honoré, conduisent une Ferrari, partent en vacances à Saint Barth’, et cela sans jamais débourser un centime. Pour tout connaître de leurs techniques pour accrocher le dindon, cliquez sur la gueule d’ange du petit-fils de Bokassa.
pour répondre à J_P_M
il est nécessaire de faire référence aux "dents longues" du castor plutôt qu’à leur.. "appendice caudal"
c’est la seule manière de rendre compte de la mixité du "castor" qui, il est bien clair, peut être de type masculin ou féminin