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C’est du Probst : Les politiques et les juges d’instruction

BAKCHICH TV / samedi 10 janvier 2009 par Marion Gay

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Jean-François Probst, l’ancien conseiller de Jean Tibéri, Charles Pasqua et Jacques Chirac, réagit à la suppression du juge d’instruction proposée par Nicolas Sarkozy.

Le président de la République, Nicolas Sarkozy, l’a annoncé le 7 janvier devant la cour de cassation : il veut se débarrasser des juges d’instruction… Ces fameux juges, devenus des vedettes dans les années 80 et 90 pour avoir titillé plus d’un homme politique. Renaud Van Ruymbeke, Thierry Jean-Pierre ou Eric Halphen, des noms à faire frémir… Sarkozy veut-il se protéger d’un système judiciaire jugé trop indépendant ? Réponse de Jean-François Probst…

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C’est du Probst : Les politiques et les juges d’instruction

le mardi 13 janvier 2009 à 10:24, Mauvais esprit a dit :

Ce vieux Probst est surpris à parler d’une affaire qu’il ne maîtrise pas bien :

De Filippis a bénéficié d’un traitement particulier (mais que tout citoyen est susceptible de subir) car il n’a pas répondu à de nombreuses convocations par courrier.

Quand un juge vous convoque, vous êtes sensé vous présenter à lui. Il n’y là rien d’insuportable. Si vous ne répondez pas, les forces de l’ordre sont requises.

Donc, quand Probst nous dit qu’un petit courrier aurait suffit, il démontre qu’il ne connait pas l’affaire.

C’est bien beau de parler de tout et de rien d’un air dégagé mais faut assurer un minimum …
C’est du Probst : Les politiques et les juges d’instruction

le lundi 12 janvier 2009 à 22:09, harry a dit :

Juste tempéré l’avis favorable de M Probst à la dépénalisation de la diffamation. Beaucoup de juristes, de journalises pensent qu’il vaut mieux que cela reste au pénal quitte à en réformer le parcours . Car la principale objection du passage au civil est que la diffamation deviendra une pure question d’argent , les journaux seront attaqués dans ce qu’ils ont de plus fragile : leur assise financière . Alors cela conduit à la perte de la valeur de la symbolique du pénal pour le "diffamé" et cela conduit à une pure définition de combien vaut la matérialité du mensonge diffamant. Et puis au civil je ne vous parle pas de la longueur de la procédure …et si tout passe en référé il faudra doubler les tribunaux qui examinent en urgence . Bref la dépénalisation est pour moi le type meme de la fausse bonne idée .
C’est du Probst : Les politiques et les juges d’instruction

le dimanche 11 janvier 2009 à 20:49, demo a dit :

Ancien collaborateur de Pasqua, Chirac et Tibéri, rien que des références en matiere d’honneteté de probité et d’éthique. Bidouille actuellement en Afrique. Prenons donc ses paoroles pour ce que c’est, du Probst et pas plus.
C’est du Probst : Les politiques et les juges d’instruction

le dimanche 11 janvier 2009 à 02:38, causticum a dit :

Sur la même page :

"…devenus des vedettes …pour avoir titiller ! ! ! !

"…s’est fait cordialement viré par le roi ! ! !

Hum, faudrait surveiller la grammaire Bakchich …