Condoléances présentées par les défenseurs des droits de l’homme, dont certains furent d’anciens détenus politiques :
Abdelillah ben Abdeslam : "Cet homme est parti comme beaucoup d’autres responsables des graves atteintes aux droits de l’homme après avoir vécu dans l’impunité",
Le vice-président de l’Association marocaine des droits humains : "avec lui vont être enterrés un certains nombre de vérités concernant ces violations".
une responsable du CCDH, qui a tenu à garder l’anonymat : "Que Dieu ait son âme. On ne choisit pas ses voisins car souvent ils vous sont imposés et l’histoire se montre souvent sarcastique".
Le président du CCDH, Ahmed Herzenni, ancien prisonnier politique : "Driss Basri est mort politiquement il y a bien longtemps, maintenant il est mort physiquement et c’est une page de tournée".
Mohamed Sebbar, président du Forum Vérité et Justice, association qui défend les victimes des violations des droits de l’homme : "s’abstenir de commenter sa mort par respect aux coutumes, car si je devais en parler ce serait forcément en mal",
Driss Basri : « Je ne suis pas le Christ : quand on me frappe sur la joue droite, je ne tends pas la joue gauche".
Références recueillies du magazine L’Inteligent.com du 29/08/07
Tobji et compagnie , fouttez la paix aux marocains , ils ne vous ont rien demandés .
Jamis le pays n’as été aussi calme que depuis la période M6 . Jamais le pays n’a été aussi peu critiqué à l’intérieur et à l’extérieur des frontiéres .