Jean-François Copé ? C’est Sarkozy en pire. Etonnant comme à l’UMP ils savent se cloner… Copé, Xavier Bertrand sont des papiers carbone, des duplicatas, des photocopies certifiées du président, des identiques à langues de vaseline. On pourrait donc parler de Jean-François Copier… Copé ? Voilà un garçon qui entend taxer les indemnités journalières perçues par les accidentés du travail ! Thatcher en a rêvé, Copé veut le faire. Entre deux Meaux JFC ne choisit jamais le moindre. A juste raison, vous me ferez remarquer qu’avec la Dame de fer il était difficile de taxer les accidentés, puisqu’il n’y avait plus de travail.
Plus je vois Copé, plus j’adore Sarko. Au moins ce dernier nous fait rire, fait des bêtises comme embarquer le stylo quand il signe un traité, un sac à main quand il visite une usine Vuitton ou, encore, quand il nomme Mitterrand à la Culture et Val à l’ORTF. Nicolas, casseur de pov’cons, est drôle et inattendu, surprenant. Il désigne un jour des « coupables », le lendemain le nouveau pdg d’EDF. Sarkozy est un désigneur très à l’aise pour bouger le front de l’humour. On remarque tout de suite que Christian Clavier est son conseiller.
Mais Copé ? En dehors de se trouver un gros boulot dans un cabinet d’avocats – bien sûr d’affaires- pour enrichir son brouet, c’est juste un cireur de pompes de Reagan qui a trouvé un job à l’Assemblée Nationale (un de plus). Il devrait faire attention car, avec tous ses boulots, en cas de chute dans l’hémicycle et donc d’entorse, il risque d’être taxé avant même de pouvoir brandir son bouclier fiscal. Le rassurant pour la sécu est de constater que ce type n’a pas de cœur ; en cas d’infarctus, par exemple pour stress au travail, il ne risque pas d’agrandir le trou.