Quand des empêcheurs de tourner en rond, les botuliens, s’amusent à parodier les prix littéraires.
Bien loin des tapis épais du Goncourt et du café crème au Flore, les botuliens, du nom d’un philosophe inconnu et jamais édité, se réunissent depuis quatre ans au Café « le Progrés », dans le 3eme arrondissement de Paris. L’idée : parodier le Goncourt, le Femina et autres prix littéraires poussiéreux.
Par exemple, à la différence de ses petits frères, le Prix Botul ne cache pas son clientélisme, il l’affiche en ne récompensant que les membres du jury ! De la même façon, le jury décerne le prix par acclamation, et non par un vote, bien trop démocratique ; le tout dans une franche ambiance satirique et… arrosée !