I,I,Y. Dans un passé récent, la horde des INS, rimaient avec pétrin : SeguIN, JospIN, RaffarIN, and last but not least , le chantre du club des poètes disparus, l’homme des nuits, non pas d’Elodie, mais de Matignon , nous avons tous reconnu le crétin de VillepIN. Aujourd’hui, grâce au bouquet final BrunI, nos cousins gaulois vont enfin connaître l’issue bien heureuse de la néfaste séquence des I : KadhafI, BalkanI, AttalI, DebI, bref la « bande à SarkozI », qui ont bien du mal face aux nostalgiques de Chichi. Certes le grand JacquO des Français avait bien des défauts mais tout de même face à l’armée hawaïenne des copains et ex-copains du Kaïser SarkocO grâce à Dieu et grâce à lui, la France de grand JacquO avait quand même plus de classe !
Sur notre continent africain, la République française de Tonton Mitterrand et de Grand JacquO avait au moins une vision et fixait un cap. Aujourd’hui, le docteur Kouchner « sac de riz »se prend les skis dans les portes d’un slalom spécial, que seul lui-même, Balkany et Bockel semblent en mes ure de comprendre, le Soudan et les rebelles tchadiens, eux, ont vite fait de piger. Nous, nous sommes malheureusement conduits à exploser de rire en observant les pitoyables spectacles qu’offrent l’opportuniste tergiversant Kouchner et la mignonne (non socialiste) Ramatoulaye Yade . Ces vedettes n’ont évidemment rien compris, comme Heinrich Guaino de Dakar, l’inspirateur du discours pré-colonial du Kaiser des gaulois, encore marié à l’époque avec l’impératrice Céci.
Malheureusement au moment où Paris ne perçoit plus la demande des 53 pays d’Afrique, les États-Unis, la Chine, l’Inde et les pays affidés aux capitales de l’islam s’intéressent, dieu merci, inch allah à nos richesses humaines et matérielles. Au Ghana, à Accra, belle CAN. Au Kenya, à l’inverse, triste guerre. Au Darfour, souhaitons que le conflit entre le Soudan et le Tchad ne débouche pas sur une tragique guerre sous-régionale qui obérerait durablement les maigres chances des populations déjà dans une atroce misère. Puisse l’inter médiation du ministre gabonais Jean Ping permettre que soit entendue la voix de l’Afrique et de l’Union Africaine par la communauté internationale.