Gilbert Comte, ancien journaliste au Monde, où il écrivait avec le même brio sur le monde africain ou la politique française, aurait pu devenir un éditorialiste omniprésent et gloser régulièrement sur les plateaux de C dans l’air ou de Mots Croisés. Au lieu de ça, il préfère écrire dans Bakchich, chaque semaine, pour dire du mal de ses ex-collègues et de leur monde creux.