Oyez, oyez ! Des nouvelles de votre hebdo préféré, de ses lecteurs fidèles, de ses sites merveilleux. Et un appel à la mobilisation, en prime.
Pour le pouvoir, les pouvoirs, Bakchich est un caillou dans la chaussure, le poil qui gratte trop et empêche les affaires d’aller comme d’habitude, façon « pas vu pas pris ». L’industriel Serge Dassault, dont on connaît la rudesse d’analyse, questionné sur de petits secrets lors d’un journal télévisé de France 2, l’a compris en répliquant : « Mais vous voulez que tout cela se retrouve dans Bakchich ? » Notre slogan, « satire juste », résume ce que nous tentons de faire : publier des vérités emballées dans un sourire. Au prétexte qu’il est impossible de changer le cours des choses, qu’elles nous amusent, au moins.
Bakchich, ovni de presse, mais d’utilité publique, a toujours été un enfant à la santé fragile. Recapitalisé cet automne, notre journal repart à l’attaque avec des ambitions. Notre point d’ancrage initial, le site Bakchich.info, reste un succès, il n’a jamais attiré autant de visiteurs. Un second site, Bakchich.tv, vient de naître avec, en tête de gondole, un reportage qui déchire l’Audimat sur une maçonnerie profane : le « Siècle ».
Bakchich Hebdo, édition papier vendue chez tous les bons marchands de journaux ou consultable en payant sur Internet, est le moteur de notre petit navire. Outre la publicité, nerf de naguère et d’aujourd’hui, c’est la vente de cet hebdomadaire qui permet à notre groupe d’exister. Ici, nous observons deux phénomènes. Une vente au numéro qui doit absolument progresser, et une vente par abonnement qui se situe dans un ratio surprenant, prouvant que nos lecteurs sont de vrais fidèles.
Le moment est venu, chers amis – alors que la presse libre est aussi rare que le coelacanthe – de vous mobiliser un peu. D’être les colporteurs d’un rêve qui a la réalité d’un journal. Devenant aussi pédagogues qu’Éric Woerth, prescrivez la lecture de notre hebdo dans votre entourage. Et courez vous inscrire au Club des amis de Bakchich, l’endroit le plus fréquentable de France.