La Françafrique, c’est fini. La France n’a plus rien à dire. Et c’est à croire qu’elle n’y comprend rien. En témoigne la situation en Côte d’Ivoire et en Angola. AFRIQUE
À 83 ans, Charles Pasqua risque de payer cher ses frasques. Impliqué dans des affaires de détournement de fonds publics alors qu’il occupait la fonction de ministre de l’Intérieur, il est jugé par la Cour de justice de la (…) FILOUTERIES
Chirac et Villepin, que Pasqua met en avant, n’ont plus grand pouvoir pour détourner le cours de l’histoire judiciaire. Mais sur le terrain des affaires, c’est avec Sarko qu’ils se comprennent à (…) VESTIGES DE LA CHIRAQUIE
Falcone ou Gaydamak n’étaient pas forcément les mieux indiqués, mais on comprend que ce ne sont ni Charles, ni Pierre Pasqua qui choisissaient les dealers. LE PRINCE POKOU
La volonté d’en finir avec les flux financiers illicites est louable mais restera vaine si, à la lutte contre les paradis fiscaux, n’est pas associée la lutte contre les paradis judiciaires. Gamberge
Philippe Courroye, qui a instruit l’Angolagate, témoigne devant le tribunal. L’occasion pour les avocats de Pasqua, Marchiani ou Falcone de tirer à vue. FILOUTERIES
Plus de 60 avocats, dont plusieurs stars du barreau, jouent leur partition pour un procès aux lourds enjeux pétroliers. Il y a le torpilleur de dossiers, l’amateur de bons mots et les autres. FILOUTERIES
Le procès des ventes d’armes à l’Angola, c’est aussi du cash versé à des VIP. En vedette, un vieux monsieur qui transportait le fric dans des sacs plastique, ce qui lui a valu le surnom du chanteur… FILOUTERIES
Le procès du trafic d’armes présumé vers l’Angola a enfin débuté avec le classique interrogatoire d’identité. VIP et petites mains défilent à la barre. De la jolie comédie humaine. FILOUTERIES
Trente huit prévenus, parmi lesquels Charles Pasqua, Jean-Christophe Mitterrand, Jacques Attali ou Arkady Gaydamak, se retrouvent ce lundi pour l’ouverture du procès dit de l’Angolagate. Vaste trafic d’armes présumé pesant quelque 790 millions de (…) FILOUTERIES