Certains combattants du Parti des travailleurs kurdes (PKK), blessés en Irak ou en Turquie, entrent discrètement en France.
Lors d’une perquisition à la Maison du peuple à Marseille, les policiers ont découvert une vingtaine d’autobiographies écrites par ces guérilleros réfugiés là. « Le rôle des cellules du PKK en France, explique-t-on au parquet de Paris, apparaît nettement dans cette littérature. » Pour la Turquie, ça vaut le prix Interallié.