L’Equipe et Le Point ont été relaxés dans l’affaire Cofidis. Les journaux avaient été mis en cause pour violation du secret de l’instruction sur un présumé trafic de produits dopants au sein de l’équipe cycliste.
En janvier 2005, les rédactions du quotidien sportif et de l’hebdomadaire avaient été perquisitionnées, provoquant quelque émoi pour la défense de la liberté de la presse. Les enquêteurs cherchaient à identifier les sources des journalistes après la publication d’écoutes téléphoniques ordonnées par le juge Richard Pallain (Le Point, janvier 2004) et d’extraits de procès-verbaux d’audition de plusieurs coureurs de Cofidis (L’Equipe, avril 2004).