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L'INTELLIGENCE ECONOMIQUE : PREVOIR?

"Il ne suffit pas de deviner avant les autres le cours des choses, mais au contraire d'où viennent les évènements. Il ne s'agit pas d'apercevoir l'océan mais de bien deviner la source"

François Mauriac (Editorial de l'Express 10/1950)

"La prévision est biendifficile quand elle concerne l'avenir: ce monde est sans Pythie...."

A- LA PREVISION?

1°) La notation de la situation présente

Les méthodes courantes de prévision des risques-pays reposent curieusement sur le classement des risques actuels. Puisque l'avenir n'existe pas et n'est donc pas mesurable, on analyse le présent et le passé mieux connus. Puis on extrapole les tendances.

Les grandes agences de notation (rating) ont étendu au risque-pays les méthodes utilisées pour l'analyse du risque de clientèle privée.

Certaines, comme Institutional Investors, Euromoney ou Beri, recensent les appréciations des principaux opérateurs du crédit et les ordonnent dans une échelle de préférences. Le rang d'un pays donné constitue sa note : le classement des opinions fait la notation. Cette technique repose sur les mêmes présupposés que les sondages d'opinion, à savoir que les sondés sont qualifiés pour prévoir, qu'ils expriment le fond de leur pensée, que l'opinion du moment reflète la réalité de demain, que l'agrégation statistique des points de vue et le calcul de moyennes englobent les risques extrêmes ou inattendus.

Pour d'autres agences, telles que Political Risk Services, Nord Sud Export et la COFACE, la notation précède le classement. On évalue des indicateurs financiers, économiques et même parfois politiques.

Les facteurs économico-financiers sont facilement repérables par des grandeurs significatives : stocks (réserves, dette), flux (recettes et dépenses en devises, finances publiques...), ratios appropriés (export/service de la dette, réserves/mois d'importation, inflation, croissance etc...). Ils sont donc très appréciés pour leur commodité malgré leur faible efficacité prévisionnelle en matière politique et même dans la vie économique.

En effet, l'économie et la finance reposent largement sur des facteurs subjectifs d'appréciation. La capacité de remboursement n'est pas un solde comptable mais un argument de négociation ou la manifestation d'une volonté de paiement plus ou moins ferme en fonction des circonstances (exemples récents de l'Egypte, la Pologne, la Russie).

C'est également vrai de la capacité de générer les ressources nécessaires aux paiements par une politique plus ou moins sensible aux consommateurs et producteurs nationaux ou étrangers. Malgré des critères souvent peu flatteurs, l'économie américaine continue de drainer l'épargne mondiale; malgré des critères excellents, la Chine continue d'inquiéter.

Enfin, en matière de risque à long terme, il faut se garder de modèles déterministes statiques. On doit envisager le changement brusque ou lent des paramètres, des relations entre variables, la modification de la liste de variables pertinentes, des modèles et même des raisons pour lesquelles un pays utilise ou non un certain modèle de développement économique (exemples: Union Soviétique ? Amérique latine?).

C'est dire qu'on doit réserver les modèles à base quantitative aux situations à très faible changement, où "tout reste égal par ailleurs" : leur domaine exclusif est celui du court terme. Ils n'y font d'ailleurs pas toujours merveille quand on constate que la couverture des risques de taux de change et d'intérêt implique un volume de flux financiers vingt à trente fois supérieur à celui des paiements liés aux échanges réels de biens, de services et de titres de propriété. C'est un lourd tribut payé par l'économie à l'incertitude des économistes.

La notation chiffrée ne fournit qu'une illusion de certitude. Les données statistiques sont tardives et peu sûres, notamment dans les pays à risques. Les pondérations, toujours arbitraires, diluent la perception du risque : obtenir la moyenne au baccalauréat ne préserve pas de la chute en montagne ni de la maladie d'amour qui peuvent ruiner les plus belles espérances individuelles. Un pays bien noté, dont les indicateurs sont globalement favorables, peut subir un évènement puissant et temporairement déstabilisateur : réunification de l'Allemagne, opération "Mano pulite" en Italie ou en France, scandales financiers au Japon, succession difficile en Chine...

Enfin la notation, comme d'ailleurs le sinistre, découle d'évènements antérieurs et ne dit pratiquement rien sur l'avenir. Etablie dans l'année n0, à partir de phénomènes constatés en n-2 ou n-3, elle ne peut prétendre nous sécuriser pendant toute la vie d'un grand contrat jusqu'à n+15 ou d'un investissement lourd jusqu'à n+infini.

2°) La tentative de prévision est-elle raisonnable?

Si la tentative de prédire exactement l'évènement-sinistre dans sa nature, son importance, sa date, est illusoire, on peut du moins s'attacher à repérer les mécanismes en oeuvre dans la "sinistralité", les variables-clés, les acteurs politiques en présence. Ceci permet d'esquisser des scénarios, des modes de prévention, de couverture et d'exploitation.

Comment prévoir l'avenir éloigné, qualitatif, accidentel du risque politique? Vaut-il mieux se tromper avec une précision chiffrée (49,75% de chances pour une guerre ou une révolution) ou avoir vaguement raison (la guerre n'est pas impossible si les facteurs évoluent de telle ou telle manière)?

"La prévision est un art difficile, surtout quand elle concerne l'avenir". Si difficile, et si aléatoirepuisqu'il s'agit de risque, que les dirigeants submergés par le quotidien renoncent à s'y essayer et cherchent des solutions simples : à la poursuite du "quick buck" ils demandent la clé du champ de tir. Ils sont encouragés en cela par les apparences de scientificité rassurante des disciplines de la gestion chiffrée: la modélisation économique et la comptabilité.

C'est faire peu de cas des innombrables erreurs de prévision et même de constatation chez l'une et l'autre. C'est aussi oublier que l'une et l'autre sont des conventions de traitement schématisé à partir de postulats non prouvés par l'expérience, postulats que la comptabilité, même "honnête", exprime bien toute la vérité de l'entreprise et que les modèles économiques représentent bien toute la réalité du monde.

C'est une erreur sérieuse que d'appliquer une méthodologie à un domaine où elle n'a pas été empiriquement testée, ou de l'étendre au-delà des limites impliquées par les postulats de départ.

Malgré sa séduction, le chiffre (taux de risque par exemple) n'est que la solution d'une équation mathématique ou comptable. Si on introduit l'évangile dans le modèle, on a des chances de retrouver les dérivées de l'évangile (Gospel in, Gospel out); si on introduit l'ivraie on retrouve les dérivées des mauvaises graines (Garbage in, garbage out). Et rien de plus ou rien de différent.

Il faut s'y faire:

- l'origine du risque est compliquée (multifacteurs et multi-logiques) et complexe (place de l'arbitraire des acteurs et du hasard);

- l'occurrence du risque: (oui ou non, où, quand, combien, comment...) est presque toujours aléatoire;

- l'impact du risque sur l'entreprise et la réaction sont largement subjectifs et susceptibles de stratégie humaine.

On doit donc se contenter de délimiter la courbe-enveloppe des problèmes, par des approches diverses et non totalisantes, et de déterminer les champs d'initiative possible. A défaut d'expliquer, il faut essayer de comprendre.

             

B- L'ANALYSE PROSPECTIVE:

1°) S'agissant de risques de l'ordre humain et non matériel, la véritable difficulté n'est pas dans la solution mathématique ou logique de problèmes clairement mais artificiellement posés (courbe d'équilibre, théorie des jeux) qui sont le domaine préféré de l'analyse quantitative à présupposés déterministes ou au mieux probabilistes. Elle se trouve dans la formulation claire de problèmes pertinents, à partir d'une situation floue mais bien réelle.

L'incertitude, la complexité, l'erreur de conception ou la faute voire l'irrationnalité des comportements y jouent un rôle essentiel. Dans leur commentaire sur les accidents du Titanic ou de la navette Challenger, Ansell et Wharton montrent que les accidents surviennent même quand leur cause est connue à l'avance( ).

La plupart des grandes crises économiques et politiques ont pris le temps de germer dans la séquence du possible, du probable et du certain, avant de vraiment exploser en un lieu, en un temps et sous un aspect inattendus .

Pour repérer ce processus organique, parfois pathologique, il faut de la patience, de l'humilité et de la chance.

2°) Facteurs et scénarios de la sinistralité:

Comme indiqué plus haut, on doit analyser les risques potentiels à divers niveaux, de l'immédiat au plus éloigné :

top a) l'alerte à l'impact direct sur les actifs et systèmes de l'entreprise (destruction, occupation, obstruction...);
top b) les manifestations directes à court terme du risque politique : actes juridiques (fiscalité, expropriation, régime des changes etc...) ou moins formalisés (troubles sociaux graves, guerre, corruption et criminalité...);
top c) les sources profondes de genèse du risque politique : inégalités sociales, conflits ethniques, crise du développement etc...

Pour bien faire, il serait utile d'esquisser l'enveloppe des risques potentiels, dans l'espace et le temps, d'un projet déterminé. Puis mettre en place des systèmes d'alerte sur le déclenchement à moyen terme du risque politique.

Le risque politique, modeste ou d'envergure, provient de partout et de nulle part. La veille élargie qu'il implique est peut-être à la mesure des AWACS et des 2° bureaux des grands états-majors de la politique et de l'économie. Sauf exception elle reste hors de portée du champ de vision étroit du chef de section d'infanterie. Mais alors, le dirigeant d'entreprise peut-il pour se simplifier la vie, acheter en préemballé une analyse de risque politique?

Le marché de l'information fournit...de l'information en abondance et même en surabondance. Mais qui a le temps de parcourir la presse d'information, qui a le goût de lire la presse d'opinion surtout quand elle évoque les risques possibles des politiques conduites? Les voix criardes de Cassandre et de Caton (Delenda est Cartago) suscitent le stress. Certains futurologues américains l'ont bien compris: ils font leur fortune en disant aux décideurs ce que ceux-ci ont envie d'entendre.

Le marché des agences de rating propose des placebo chiffrés ou des évidences à prix élevés (moins élevés toutefois que les sommes considérables consacrées "aux frais généraux"liés à l'image et au confort du dirigeant). Leur philosophie économique est à la fois tautologique (plus un pays est riche, moins il aura de problèmes de paiements) et simpliste (comme si les monarchies pétrolières du Moyen Orient et les Etats-Unis, pays parmi les plus riches du monde, ne recélaient ni généraient aucun risque politique).

L'assureur vend de l'assurance et le banquier vend des produits financiers : ce sont des produits préfabriqués, pas forcément adaptés au risque politique et dont les calculs de marges sont ce qu'ils sont. Le manager peut légitimement penser que ses capacités doivent lui permettre de cerner son propre risque politique au moins aussi bien qu'une loi d'offre et de la demande de produits financiers qui présente parfois des dysfonctionnements.

Le juriste est en principe informé des risques juridiques et fiscaux, mais ce n'est pas tout. D'ailleurs le juriste ne peut que raisonner à l'intérieur d'un système juridique donné : il est fréquemment mal à l'aise pour sentir les interprétations possibles des magistrats étrangers (voyez la difficulté pour alimenter en France la jurisprudence européenne qui est pourtant "notre fille"). Enfin le juriste dit bien peu de choses (ou alors il n'est plus juriste mais philosophe) sur le changement du système de normes, ses origines et ses modalités, ce qui est l'essence même du risque politique majeur.

Analyser des risques et des opportunités, des forces et des faiblesses, et en déduire des méthodes, ce devrait être en principe le métier du conseiller en stratégie. Mais la profession souhaite facturer des heures d'ordinateur (qui ne sont pas nécessairement dans le sujet) et se contente souvent d'appliquer des recettes de gourou en organisation interne (ce qui ne prémunit pas du risque politique, le plus souvent externe).

On reste ramené à la bonne manière de conduire sa vie : faire soi-même son diagnostic - après avoir sollicité informations et avis sur des points spécifiques- et prendre sa décision en conséquence.

             

C- CONSTRUIRE DES EVIDENCES

En matière de risque politique, l'expérimentation n'existe pas : on ne peut par souci de rigueur scientifique susciter des guerres et des révolutions en éprouvette ou en grandeur nature avec des cas suffisamment homogènes et en nombre suffisant pour permettre l'extrapolation. Les lois de l'Histoire ne se calculent pas et, comme le dit GB Shaw : "On apprend de l'Histoire qu'on n'apprend jamais rien de l'Histoire".

Il faut donc interpréter, donner un sens aux observations et construire une évidence à partir d'éléments d'ordre rhétorique : rassurer par le sérieux de l'expérience acquise, par la cohérence des arguments de preuve...et par leur simplicité communicative et rassurante (Cassandre a toujours tort).

Le décideur n'a guère le temps de lire, ni même de réfléchir : en matière de risques graves il "zappe" comme la plupart des humains. Il se contente souvent de représentations schématiques du monde, des "visions stratégiques", en fonction desquelles il entamera une action susceptible de correction et d'enrichissement par essais et erreurs: c'est l'approche de la vérité par l'apprentissage (comme l'expérience est la somme des erreurs accumulées). Pour les plus heureux, c'est la création de l'avenir, côté prométhéen qui flatte l'ego et dispense des difficiles réflexions sur l'avenir au profit de l'action. Dans la formation de cette "vision stratégique", l'éducation familiale, le déjeuner de club, les relations entre confrères jouent un grand rôle.

On peut aussi favoriser la prise de conscience, la perception des ensembles risqués par une combinaison de concepts-clés et d'images symboliques.

Cartes, graphiques ou images peuvent servir pour:

top attirer l'attention sur un objet flou (schémas et modèles), favoriser les associations entre objets;
top rendre compte de la dimensions des catégories, des hiérarchies de concepts;
top figurer des raisonnements de causalité ou finalité;
top représenter graphiquement des conceptions et arguments stratégiques.

Interpréter (ou transformer?) la réalité par une représentation cohérente, c'est un privilège des humains, et des plus humains parmi eux, à savoir les décideurs, "les entrepreneurs colériques à la nuque rouge" dont parle Schumpeter. Il leur reste cependant à s'adapter ou à s'excuser quand la réalité du risque n'a pas correspondu à leurs conceptions et quand le dégât s'est abattu sur autrui.

 

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