Les géants français de l’assainissement, la Saur, Veolia et Suez environnement, ont tous trois dû soulever leurs jupes, les 12 et 13 avril devant la Commission européenne.
Bruxelles, soupçonnant des ententes sur le marché de l’eau, s’est appuyée sur les équipes de la répression des fraudes françaises pour perquisitionner les sièges des trois industriels.
« D’ordinaire, quand ce genre de descente a lieu, décrypte un spécialiste, c’est que l’un des trois a balancé pour être amnistié. » L’eau ne dort jamais.
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