Si Marine le Pen est élue, conseiller régional le 24 mars prochain, ce qui sauf surprise est plus que probable, les Héninois qui lui ont fait confiance, vont se retrouver orphelins plutôt que prévu de l’étoile montante du FN.
Le texte du code électoral sur le non-cumul des mandats est en effet formel, elle devra remettre un des deux mandats dont elle est actuellement titulaire. Entre conseiller municipal d’Hénin-Beaumont et député européen, est-il besoin de disposer d’une boule de cristal pour prédire le mandat qu’elle va abandonner ?
Cette bonne vieille ville d’ Hénin-Beaumont ou Bruxelles ?