@ Aurélie.
Quel courage pour quelles réformes ? Celui qui consiste à contraindre et appauvrir l’essentiel de la population en augmentant la part du pouvoir financier et politique d’une minorité, à l’échelle mondiale.
En 2007, M. Sarkozy a réussi à susciter les suffrages qui l’ont fait élire, mais les municipales de 2008 ont signé un évident refus de sa politique promise et tronquée.
En dehors des élections, qui sont un geste démocratique à un moment donné, quel autre acte existe-t-il pour les citoyens de manifester leurs choix sur des sujets qui les concernent directement que leur présence dans l’espace public ?
Qui peut juger de l’état de l’opinion publique au cours d’une législature ? Vive la démocratie, partout et tout le temps.