Le vent souffle et le patron de la SNCF,
Guillaume Pépy, ramasse les tuiles. Le mois dernier, l’annonce d’une perte nette de 980 millions d’euros sur l’année 2009, après un profit de 575 millions en 2008, n’a pas amélioré son image à l’Élysée. Pour le Président, c’est simple : «
C’est un bon numéro deux, c’est tout. » De là à changer de chef de gare…