Malgré les élections en Guinée-Conakry, le dimanche 27 juin, la politique africaine de la France ne dévie pas de sa route… à plusieurs voix.
Quand le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, n’a qu’un but, faire élire son ami Alpha Condé, le patron de la cellule Afrique de l’Élysée, André Parant, a un autre chouchou, Sidya Touré.
« De toute façon, plus personne ne les écoute », décrit un ministre africain.
Notre coq chante dans le vide.