Pour remonter le moral de Valérie Pécresse et du camp UMP en Ile de France, David Douillet fait parler son expérience sur le thème “tant que le combat n’est pas terminé, il ne faut rien lâcher“.
L’ancien judoka aime ainsi raconter comme lors d’un meeting comment, à l’époque où il était sur les tatami, il a su tenir la dragée haute à un « colosse chinois de 2 mètres de haut ». « J’ai plus lâché le tissu, je l’ai tiré vers le bas et finalement c’est lui qui a courbé l’échine ».
Douillet devrait être davantage écouté à l’Elysée où certains conseillers de Sarko n’hésitent pas à brocarder devant leur visiteurs « l’arrogance excessive » et le « sentiment de toute puissance de la Chine ». Après l’opération pièces jaunes, sus à l’Empire du Milieu !