Le sale état de Khalifa
mardi 13 mars 2007
Surprise dans le procès Khalifa, on parle enfin de la responsabilité de l’État. L’avocat des trois directeurs d’agence de la Khalifa Bank a affirmé dans sa plaidoierie que Rafik Khalifa, le tycoon algérien, n’aurait pas pu édifier son empire « sans l’aide des autorités, qui ont fermé les yeux sur certains de ses agissements ». Ce que disaient les journalistes et la rue depuis des années était donc vrai !