François Hollande croit toujours en son
destin. Ses prises de position à répétition
lors des réunions des députés
socialistes pour insuffler la ligne du
parti ne sont pas anodines. « Il fait
comme Laurent Fabius avant le Congrès
de Reims en 2008 », assure une huile de
l’Assemblée. Histoire de se positionner
pour les primaires, avec, déjà, le soutien
indéfectible du président des députés
PS, Jean-Marc Ayrault.
Il est en revanche en excellente position pour être à Bercy, non "parce qu’il le vaut bien*", mais en raison de son savoir fiscaliste, économique (ENA).